Actualités Criminelles of Thursday, 24 February 2022

Source: www.camerounweb.com

Voici ce qu’on ne sait pas sur l’Abbé Aloysius Fondong Abangalo, le nouvel eveque de Manfé

Il est titulaire d’une licence en droit canonique de l’Université Catholique d’Afrique Centrale UCAC Il est titulaire d’une licence en droit canonique de l’Université Catholique d’Afrique Centrale UCAC

Enseignant au Grand Séminaire Saint Thomas d’Aquin de Bambui

Il est né le 5 juin 1973 à Limbe

Il est titulaire d’une licence en droit canonique


S.E Mgr Aloysius Fondong Abangalo est né le 5 juin 1973 à Limbe, dans le diocèse de Buéa. Il a étudié la philosophie et la théologie au grand séminaire interdiocésain Saint Thomas d’Aquin de Bambui, à Bamenda. Il est titulaire d’une licence en droit canonique de l’Université Catholique d’Afrique Centrale UCAC (2011-2014).
En tant qu’étudiant, il a également servi comme ministre dans la paroisse de Saint-Pierre et Paul à Simbock.

Depuis 2019, il est en Italie pour le doctorat en droit canonique à l’Université pontificale urbanienne .
Il a été ordonné prêtre le 20 avril 2006 pour le diocèse de Buéa. Il a occupé les postes suivants : Vicaire de la paroisse Sainte-Famille de Limbe (2006-2007) ; Doyen du Collège Our Lady of Grace à Muyuka (2007-2009); Trésorier Diocésain et Membre du Collège des Consulteurs (2009-2011) ; Enseignant et formateur au Grand Séminaire St Thomas d’Aquin de Bambui et Défenseur du Lien au Tribunal Interdiocésain de Bamenda (2014-2019).

C’est en effet ce prêtre au parcours modeste que le Saint-Père a nommé l’Abbé Aloysius Fondong Abangalo, du clergé de Buéa, actuellement enseignant et formateur au Grand Séminaire Saint Thomas d’Aquin de Bambui (Nord-Ouest), comme évêque du diocèse de Mamfé dans le département de la Manyu au Sud-Ouest.

Plus de cent congrégations religieuses sont présentes aujourd’hui dans la ville de Yaoundé, dont 75 sont des congrégations féminines et 25 des congrégations masculines.
Depuis l’ouverture en 1991 de l’Université Catholique d’Afrique Centrale (UCAC), la seule sur le continent à cette date, les congrégations religieuses se sont groupées à Yaoundé pour assurer une partie de la formation de leurs nouveaux membres.

Comment expliquer ce choix ? Sans doute est-ce parce que Le Cameroun est l’un des pays d’Afrique où la paix sociale est la mieux assurée. Et la population locale à Yaoundé y est en majorité catholique. Mais il y a surtout la présence de L’Université catholique qui est composée de facultés de théologie et de philosophie ainsi que d’une faculté de Sciences sociales et de gestion, tenue par les jésuites, et une Ecole supérieure d’infirmiers. Autour d’elle se sont construites des institutions complémentaires comme l’Institut de théologie et de pastorale (ITPR) destiné à des religieux et des religieuses qui ne visent pas un titre académique supérieur.