• La tribalisation des emplois et des recrutements dans les entreprises fait polémique

• Cette polémique est née d'une sortie du SGPR Ferdinand Ngoh Ngoh

• C'est est suivi de nombreuses publication de dénonciation


Dans une publication ce vendredi 13 mai, le journaliste politique Boris Bertolt attire l'attention des Camerounais sur l'une des entreprises qu'il classe parmi les plus tribaliste du Cameroun.

Le journaliste lanceur d'alertes parle en effet des Aéroports du Cameroun.

"Les aéroports du Cameroun sont l'une des entreprises les plus tribalistes du Cameroun. Ngoh Ngoh se fout éperdument des Camerounais. Cette entreprise publique est la seule au Cameroun dans laquelle le DG et le DGA sont de la même aire géographique. Le top management et la majorité des directions centrales sont la propriété d’une région: LE CENTRE. NGOH NGOH, il faut aussi écrire à ce DG. On continue ou on laisse", écrit Boris Bertolt dans une publication.

Si Boris s'en prend au SGPR dans sa publication, c'est parce qu'il avait il y a quelques semaines, écrit une lettre au DG de la SODECOTON pour demander des explications sur les recrutements à caractère ethniques dans cette entreprise d'Etat.

Après avoir été rappelé à l’ordre par le ministre d’Etat secrétaire général de la présidence de la République qui ne fait que transmettre les hautes instructions du chef de l’Etat dans le cadre des recrutements à la Société de coton (Sodecoton), les réseaux proches du directeur général, Mohamadou Bayero Bounou, ont traité Ferdinand Ngoh Ngoh de tous les noms d’oiseau au point de tenter de mettre à rude épreuve le vivre-ensemble.