Actualités of Monday, 8 August 2022

Source: www.camerounweb.com

Voici les Camerounais sur la liste rouge de Interpol

Djoumessi Emilie Chanceline et Muki Elvis Djoumessi Emilie Chanceline et Muki Elvis

• Des Camerounais font partie de la liste des personnes les plus recherchées par Interpol

• Ils sont au total 2 individus de nationalité camerounaise

• L'un est un homme, l'autre une femme



La rédaction de CamerounWeb a découvert que 2 camerounais faisaient partie de la liste rouge des personnes les plus recherchées actuellement dans le monde pour des délits et faits graves.

Muki Elvis, l'homme, est un narcotrafiquant et Djoumessi Emilie Chanceline aurait commis des actes de fraudes, de requêtage et de corruption.

Muki Elvis (49 ans)

Ce Camerounais de 49 ans est recherché par la Russie où il avait résidé avant de prendre la fuite. L'homme a fondu dans la nature.

Actuellement recherché par Interpol, Muki Elvis est recherché pour "entreposage illégal de stupéfiants, tentative de vente de stupéfiants".

Djoumessi Emilie Chanceline

Cette dame de nationalité camerounaise est âgée de 39 ans. Elle est recherchée par l'Etat sudafricain pour des actes de" fraudes, de requêtage et de corruption".



Un Camerounais condamné par la Justice aux USA, pour fraude électronique


Frankline Bate Okpu est un Camerounais d'origine, vivant aux Etats Unis. Il a été récemment condamné par la justice américaine à 36 mois de prison et sera expulsé vers le Cameroun en 2024.

Dans un communiqué diffusé par le département d'Etat de la justice américaine, il est écrit que Frankline Bate Okpu est le chef d'un réseau mafieux de huit hommes. Le camerounais, apprend-on, a été "arrêté et condamné à une peine de prison fédérale pour son rôle dans un stratagème visant à voler plus de 726 000 de dollars à une société sud-coréenne".

"La juge de district américaine Lynn N. Hughes a condamné Bate Okpu à 36 mois de prison. Il a également été condamné à payer 350 938 $ en dédommagement. N'étant pas citoyen américain, il pourrait faire l'objet d'une procédure d'expulsion après sa peine de prison", lit-on sur le site du département de l'Etat américain chargé de la Justice.