L'acte ressemble à une erreur de débutant ou alors à du banditisme. Après avoir contacté l'universitaire Pr Aimé Bony et ses collègues pour collecter des informations sur les examens du CAMES, le journaliste du magazine Jeune Afrique s'est approprié les informations sans citer les véritables auteurs qui décident de porter plainte contre le médias français.
CamerounWeb vous propose la correspondance du professeur Aimé Bonny au rédacteur en chef de Jeune Afrique en charge du Cameroun
Monsieur Mathieu OLIVIER, Rédacteur en Chef de JEUNE AFRIQUE, Cci: Fred Eboko Pr Aimé BONNY J'apprécie la promptitude relative de votre réponse à mes multiples courriers. Il me semble que la notion de propos potentiellement diffamatoires » est assez peu maîtrisée par vous, pour ne pas dire erronée.
Sinon, veuillez m'expliquer en quoi votre texte est différent du notre ? Je vous rappelle que vous avez reçu notre tribune plus de 20h avant la publication de votre COPIER-COLLER, dont la totalité du contenu a été recueilli de mes collègues et moi par votre journaliste Yves Plumey BOBO. Nous a-t-il au moins cité ? NON ! 10 h Ma réplique à la réponse du Rédacteur en chef de JA 1 B J'insiste sur le fait que lorsqu'on reçoit des informations d'une source sollicitée (par votre journaliste), la MOINDRE DES ATTITUDES DEONTOLOGIQUES est de la citer. A moins d'une demande d'anonymat.
Il ne me semble pas que vos sources que nous sommes avons exigé de nous cacher. Nous ne sommes pas ces enseignants universitaires camerounais peureux qui se planquent. <
< > Votre journaliste m'a-t-il fait un feedback de ses entretiens avec mes deux autres collègues dont j'ai été l'intermédiaire, et ce, malgré mes multiples rappels ? Pourquoi n'évoquez-vous pas ce manquement déontologique que je verserai dans ma plainte en justice ? Commenter en tant que Adzafo Têté Enfin, quand on sollicite des personnalités universitaires (TROIS en l'occurrence) et qu'on promet de publier leur tribune, la moindre des choses est de leur faire part de la décision de ne pas la publier. C'est une question d'éducation de base, de civilité.
Vous êtes donc (à JEUNE AFRIQUE) au minimum mal intentionnés, irrespectueux des règles. JEUNE AFRIQUE est connue pour être un média peu vertueux, aux pratiques journalistiques en marge de la norme. Nous avons ici une preuve supplémentaire. Je vais vous attraire en justice et vous apporterez la preuve que vous avez reçu ses informations (identiques à celles de notre tribune) par une autre source. Recevez mes salutations désabusées. PrAimé BONNY