Actualités of Wednesday, 8 June 2022

Source: www.camerounweb.com

Yaoundé/Insécurité : décès d'un commissaire de police après une agression

Police camerounaise Police camerounaise


• Jean Claude Marie Okolé était un commissaire de police retraité

• Il a été victime d'une agression le 9 mai dernier à proximité de son domicile à Yaoundé

• Conduit d'urgence à l'hôpital, il a finalement rendu l'âme le 6 juin passé



L'information est relayée par nos confrères de Cameroon Tribune (CT). Selon ce quotidien à capitaux publics, le commissaire retraité Jean Claude Marie Okolé a succombé à ses blessures le lundi 6 juin 2022 aux environs de 14h au centre hospitalier d'Essos. Ce quotidien nous renseigne que le 9 mai 2022, alors que le commissaire rentrait à d'une réunion, il a été pris en partie par des individus qui l'ont grièvement blessé non loin de son domicile. Cet article de Gisèle Tsiele ci-dessous nous renseigne d'avantage.

"Jean Claude Marie Okolé a succombé lundi aux nombreuses blessures subies lors d'une attaque le 9 mai à quelques mètres de son domicile, au quartier Santa Barbara.

Le commissaire divisionnaire Jean
Claude Marie Okolé n'est plus. II est décédé le lundi 6 juin dernier aux environs de 14h au Centre hospitalier d'Essos à Yaoundé. Le policier a succombé à plusieurs blessures subies lors d'une agression le 9 mai à quelques mètres de son domicile, au quartier Ngousso Santa Barbara. Ce jour-là, alors que le fonctionnaire de police rentrait à la maison après une réunion, trois individus lui sont tombés dessus, lui infligeant une blessure au dos et des entailles défensives aux mains avec des armes blanches.

D'abord admis au Centre des urgences de Yaoundé puis transféré au Centre hospitalier d'Essos vendredi dernier suite à des complications post traumatiques, il va finalement rendre l'âme. Les médecins évoqueront un accident cardio vasculaire. Le commissaire divisionnaire de police âgé de 62 ans, bien connu pour son engagement dans divers mouvements sportifs, n'aura que très peu profité de sa retraite, entamée il y a à peine deux ans. Les auteurs de cet acte odieux sont toujours en cavale."