C’est une affaire assez rocambolesque qui défraye la chronique au Cameroun. Les faits se déroulent à Tsinga (Yaoundé) dans la zone de la Polyclinique. En effet, un homme, a eu le malheur de se faire rattraper dans son aventure avec la femme d’un militaire. Plusieurs jours pour le voleur, un seul pour le propriétaire.
Selon les informations, la femme mariée au militaire, profite souvent de l’absence de celui-ci pour inviter son amant chez elle à pour procéder à des séances de jambes en l’air. Malheureusement pour les deux tourtereaux, le militaire était revenu à l’improvise ce jour et a surpris les deux en pleine séance. Là, l’homme en treillis leur a laissé deux choix. Soit il les fusille tous, ou la femme coupe l’appareil génital de l’homme. Devinez quoi… la femme a choisi la seconde option.
« Tout commence lorsque la femme mariée profitant de l'absence de son mari invite à la maison son cogneur surnommé "Bazooka " avec qui celle-ci s'enverra dans les airs comme une frappe dévissée de Clinton Njié ! Ce sont les applaudissements de la paire de fesses de madame, copieusement fouettée par Bazooka qui interpelleront son époux militaire à une vingtaine de mètres de son domicile alors que ce dernier rentrait à la maison. L'homme cocu franchissant le seuil de la porte de la chambre verra 2 noyaux poilus couillant aller-retour madame dans une position arc-boutée ! Le soldat cocu extirpera son flingue de sa ceinture lui donnant 2 alternatives pour survivre à ce coït à problèmes: soit madame se sait d'un couteau et coupe l'arme du crime comme l'exige la charia ou alors il se sert de son arme et les exécute tous les deux ! Madame s'est précipitée vers la cuisine attraper un couteau de marque Nkassa avant de sectionner le tandon musculaire du bangala de son amant ! », relate avec ironie le lanceur d’alerte N'zui Manto