C'est connu qu'au Cameroun, le mysticisme, la sorcellerie et toute forme de magie noire règne dans plusieurs secteurs et de plus en plus de personnes ont font usage pour chercher l'argent.

Ce mercredi 7 décembre, une femme a offert aux Camerounais, une des nombreuses scènes dignes du continent camerounais.

Fatiguée par ce qu'elle appelle le don des gens des ténèbres, elle a jeté tout l'argent qu'elle possède à un carrefour à Yaoundé.

Questionnée sur les raisons qui ont motivé son geste, elle explique qu'elle ne veut pas ce qui lui est arrivé, arrive à d'autres personnes.

La scène se passe à Mvog Atangana Mballa, un quartier de Yaoundé.

Souvent, des criminels avides de fortune et de notoriété vont chercher des billets maléfiques qu’ils jettent dans les rues pour faire des victimes. Une scène de ce genre s'est également déroulée à Yaoundé, il y a quelques semaines.

Une citoyenne n’est pas parvenue à ses fins. Pourtant, elle avait tout calculé à l’avance. La Camerounaise a jeté un billet par terre, espérant qu’une autre compatriote ramasse l’argent pour qu’il/elle subisse les conséquences de la pratique, à la grande joie de l’intéressée.

Un lanceur d’alerte ayant été mis au courant de la situation, a écrit sur Facebook pour alerter la population : « Yaoundé, quartier Damas. Elle se déshabille sans caleçon après avoir été forcée par la population d'avaler son billet de 1 000 francs CFA jeté discrètement au sol ».

Si le stade Al Janoub au Qatar était rempli des pleurs de supporters des Lions indomptables lamentablement défaits par les Suisses ce jour, au quartier Damas à Yaoundé ce sont des cris et sifflements aiguës accompagnant une femme ayant décidé de présenter son poilu pays bas à la foule qui semble avoir été à l'évènement populaire du jour ».

En effet, « tout commence lorsque celle-ci jette discrètement le billet de 1 000 francs CFA sous la porte d'une maison. Repérée par des chômeurs, il lui sera rapidement demandé de reprendre son argent car le quartier Damas comptant assez de morts et fous inexplicables ».