Les perversions battent leur plein dans les quartiers du pays. Beaucoup de cas de pratiques déplacées de jeunes filles/garçons pris en flagrant délit sont rapportés, avec des histoires à la base de ces actes qui surprennent l’opinion publique. Mais les faits sont là.
À Yaoundé une nouvelle situation dont nous avons eu écho laisse à désirer. Le papa est rentré du travail et a surpris sa fille sur le point de se jeter dans une partie de plaisir avec non pas un garçon mais deux.
La source raconte que c’est la « vidéo qui fait le buzz. Un papa rentre chez lui et trouve sa mouna à la maison avec deux (02) garçons en pleine préparation de nyassement. Après un peu de chicottement en direct la mouna a pris le téléphone pour appeler le service de protection des mineures ? Le téléphone a reçu sa part de tabassement ».
L’informateur se désole de l’allure que prennent les choses de nos jours : « La génération qui arrive ci hein, que chaque parent prépare son chapelet et me retrouve dans la prière pour que les systoles et diastoles de vos battements de cœur de papa et maman ne vous nuisent pas ».
Adultère : elle coupe le pénis de son mari surpris en pleins ébats avec une maîtresse
Ce n’est pas la première fois dans le monde que de tels actes sous-tendus par la tromperie d’une personne dans le couple et la jalousie de son ou sa conjointe.
Très souvent, il arrive qu’au bout du compte, le mari ou la femme trompée se venge d’une façon qui laisse à jamais des mauvais souvenirs à l’autre. C’est ce qui s’est encore passé dans un couple où l’homme a été surpris en flagrant délit d’adultère.
« Piment info », c’est comme cela que le lanceur d’alerte camerounais Nzui Manto a commencé par attirer l’attention de ses lecteurs sur l’information qui suit.
C’est une rubrique qu’il a créée sur sa page Facebook pour parler des histoires de couple qui tournent au vinaigre dans le pays, parfois occasionnant des personnes blessées graves et même des morts à longueur de journée.
"Piment" est employé pour faire référence au sexe, dans le langage familier utilisé au Cameroun et dans plusieurs pays africains. « Ce soir à la cité Cicam, une femme coupe le bangala (pénis, ndlr) de son mari qu'elle a surpris dans le lit conjugal avec la tchiza (une maitresse, ndlr) », a informé l’homme précédemment cité.
Quelle histoire ! Encore une telle action dans ce pays ! S’exclament les premières personnes qui sont tombées sur l’information. Les observateurs ne comprennent pas comment la femme est allée jusque-là.