Voici 5 ans que je suis marié avec X. J'ai 45 , elle n'en a que 27 ans. Nous avons deux enfants, un couple normal. Elle a son boulot de professeur et moi comptable dans une compagnie pétrolière de la place.

Je vous sommets mon problème qui moi-même me dépasse. Je suis allé en mission pour un mois. A mon retour on a bu un peu de champagne comme d'habitude. J’ai voulu faire l'amour à ma femme, elle me dit de la sucer. J'étais choqué. Comment une chrétienne qui lit la parole à l'église peut dire une chose pareille ? J'ai ressenti du dégoût jusqu'à aller vomir dans la douche.

Je reviens dans le lit, ma femme qui prends tout son calme qui me dit : chéri j'espère que tu as fini de vomir car je suis très excitée. Je dis suce moi. J'ai encore refusé, car mes parents mon toujours dit que sucer le sexe féminin entraîne la malédiction sur l'homme et il devient pauvre. Le problème est que ma femme ne fait qu’insister, chaque fois que je veux la toucher, elle refuse tant que je ne la suce pas. Elle en fait maintenant un caprice. Quand je refuse, elle devient violente, me griffe, déchire mes habits, ......sachant que je n'aime pas frapper les femmes.

Depuis je le lui demande plus rien . L'atmosphère est devenue glaciale dans la maison.
Un vendredi j'allais pour des funérailles le week-end au village. A la porte, elle me dit : « Ce que tu refuses, d'autres cherchent avec torche et insistent »Je lui demande de quoi elle parle. Elle dit que je ne suis pas un enfant. Je repose la question. Elle dit qu'elle voulait voyager avec moi que j'ai refusé.

Elle a accepté qu'on fasse l'amour finalement. Mais, quand ont fait l'amour, elle se couche sur le dos, ferme les yeux et me fait le "tue moi". Sachant que j'ai horreur de cela. Elle dit qu'elle ne ressent plus rien au lit tant que je ne la suce pas. Qu'elle me demande de réfléchir à cela.
Jusqu'à 2 enfants et c'est maintenant que tu ne ressens rien? C'est un chantage horrible.

J'ai besoin de vos conseils, car ma femme ne m'aime plus elle dit que je l'étouffe. Et moi aussi je commence à être dégoûté de ses caprices.