Prévues jusqu’à jeudi, les manœuvres qui bénéficient de l’appui des Etats-Unis portent sur les interventions maritimes, la lutte contre les trafics dans le Golfe de Guinée, la lutte contre la pêche illicite, les opérations de recherche, de sauvetage en mer et de lutte contre la pollution marine.

Selon le directeur de l’exercice, côté des Etats-Unis, le capitaine de vaisseau David Barnes, « l’exercice permet de rester fort, de continuer à lutter contre le trafic d’êtres humains et de stupéfiants dans la sous-région, d’accroître la sécurité tout en consolidant les rapports entre Etats ».
En d’autres termes, il est question de mettre l'accent sur le renforcement de la sécurité maritime, a indiqué le commandant de la Base navale de Douala, le capitaine de vaisseau Christophe Ndzana Mvondo.
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A en croire ce dernier, « au vu des accomplissements enregistrés ces dernières années, l’exercice est un succès. La mer est sécurisée et le sera davantage ».

De l’avis des experts, les scénarios élaborés pour cette édition l’ont été « en fonction des menaces et des vulnérabilités », avec en ligne de mire la lutte contre les trafics dans le Golfe de Guinée et les opérations de recherche, de sauvetage en mer et de lutte contre la pollution marine.