Au Cameroun, deux ONG, notamment, le Réseau de Lutte contre la Faim (RELUFA) et le Centre d’accompagnement de nouvelles alternatives de développement local (CANADEL), qui pilotent le projet de Renforcement de la Transparence dans la gestion des ressources naturelles (Trap-Grn), ont réuni des journalistes, afin de débattre de la gouvernance dans le secteur des industries extractives, au moment où, le nouveau code minier, est adopté au parlement.
Précisément, il s’est agi d’informer les hommes de médias sur le niveau de prise en compte de la transparence et de la participation des communautés dans les processus d’attribution et de gestion des concessions minières dans le Code Minier qui vient d’être adopté.
L’objectif, a expliqué Michel Bissou, est de « susciter le débat de la part des professionnels des médias sur la place de la terre dans la législation minière. Et surtout, les outiller sur l’analyse de la place de la terre dans le secteur minier ».