Les programmes Agropoles financés avec l'argent issu des emprunts obligataires.
Le plus difficile dans la production agricole étant les pertes-post-récoltes, l’absence de technique de conservation, l’éloignement des marchés des zones de production.
Le gouvernement a investi dans une série de projet privés dont les usines de transformation de pomme de terre de l’Ouest (Mbouda), 1 800 000 000 FCFA injecté par l’état , 442 046 405 FCFA pour transformation de riz pluvial de Galim, unité de transformation d’ananas de Hlowe 562 Millions de FCFA, transformation de manioc de Sangmélima avec plus de 100 millions injectés, tracteurs d’Ebolawa plus de 300 millions, découpes des poulets de Bafang 400 millions, transformation de Soja de Yato, dans l’arrondissement de Dibombari, une unité moderne d’extraction d’huile de maïs, la construction d’une provenderie à Foumban, usine de poulet de Bomono dans le littoral, de Medong au centre,2 milliards de FCFA dans le complexe de Dzeng qui selon l’ACDIC sera un éléphant blanc etc…
Si certaines usines ont vu le jour avant de fermer, d’autres par contre n’ont jamais été mises sur pieds, et les responsables de ses projets tiennent un même langage, ‘’nous avons eu la contribution du gouvernement, nous recherchons à présent nos parts de contribution’, d’où la question suivante :’’ Comment un gouvernement peut-il prendre des risques dans les projets prives avec de l’argent emprunté sans évaluer les capacités opérationnelles de ses partenaires ?’’
Qui va rembourser cet argent ?