• Les braqueurs sont de retour
• Ils ont attaqué à Douala
• C'était au restaurant white house de Bonamoussasi
Douala a renoué avec l'épisode des braqueurs. Longtemps pensé au repos, ces hommes redoutables ont repris du travail. Il y longtemps qu'on n'en parlait même plus.
Un braquage à mains armées a été observé à Douala ces derniers jours. La triste scène s'est produite il y a de cela quelques jours.
En effet, des femmes ont été dépouillées de leurs bien par des braqueurs non identifiés.
Argent, bijoux et téléphones portables ont été emportés lors de ce braquage à main armée.
Tout a commencé le lundi 22 août dernier. Il sonnait encore 21h05 au restaurant White House de Bonamoussadi. Trois individus, arme au point ont fait irruption dans ce lieu avec pour instruction
"Couchez-vous, si vous obtemperez, tout va bien se passer. Argent, bijoux, téléphone".
« Ils ont collecté les biens des personnes présentes au restaurant, ont vidé la caisse et sont partis. Après les plaintes au commissariat, l'agent rencontré a fait savoir que les quartiers Bonamoussadi et Makepe sont classés zone rouge.
Un faux militaire spécialisé dans le braquage de Bensikineurs lynché à Yaoundé
Un faux militaire spécialisé dans le braquage de Bensikineurs a été lynché et copieusement battu à Yaoundé.
Ce voleur de grand chemin et redoutable braqueur de Bensikineurs a reçu des bosses distribuées aux yeux par la population.
Le Caporal NGO JEAN, expert en braquage nocturne enfilait tous les soirs sa tenue militaire pour se livrer à un combat d'un autre genre tandis que ses collègues enfilaient les leurs pour affronter l'ennemi sur le champ de bataille.
Le Caporal en compagnie d'un complice vont stopper un bensikineur pour une destination proche. Lui miroitant une bonne paie, ils rythmeront le chauffeur par des discours destinés à le mettre en confiance avant quelques secondes plus tard, se saisir de force de ce dernier dans un endroit isolé.
Ligotant leur victime tel un fagot de bois, des cris à l'aide seront entendus à des centaines de mètres provoquant une réaction spontanée de quelques habitants du quartier qui se dépêcheront sur les lieux armés de gourdins limés.
Le Caporal Ngo Jean s'apprêtant à tangenter avec la moto enlevée, sera soulevé par un coup de poing dosé dans l'œil. Comme des pommes d'été deux bosses émergeront aussitôt de ses pommettes.
« Ça s'appelle faire d'une pierre deux coups mboutman », lui lance son malaxeur avant de le conduire à la SEMIL.