C'est une confirmation du greffe criminel de la cour de cassation ce 13 Juillet 2016, que je viens de recevoir, dans l'affaire qui m'oppose l'avocate injurieuse sur Facebook et, première à la course au dépôt de plainte auprès du doyen des juges d'instruction, après le tribunal de police où j'ai été condamné et fait appel, la cour d'appel de Paris a même aggravé les condamnations cette fois, l'accusé que je suis se pourvoit en cassation et ce, malgré le refus du bureau d'aide juridictionnelle de la cour de cassation qui a d'autorité préjugé « d'absence de moyens de cassations sérieux » dans ce nouveau scandale digne de l'affaire Outreau.
Dans cette affaire Outreau, le juge d'instruction Fabrice Burgaud avait été ému par des affabulations et, avait sans avoir vérifié les accusation fantaisistes, renvoyé en correctionnelle des innocents et les tribunaux avaient mécaniquement condamné ces innocents, cette fois dans l'affaire qui oppose Zeifman à moi, c'est l'avocate injurieuse qui m'a attaqué de façon répétitive à coup d'injures et diffamations (con, antisémite etc.... ) mais, puisque je n'ai pas eu le réflexe de porter plainte dans le délai de trois mois après les faits, les délits de Zeifman qui ont entraîné mes ripostes eux sont prescrits, alors que mes ripostes sont traitées par le juge d'instruction Yves Madre d'invectives, ce qui est faux, comme si une réaction à une provocation pouvait être classée en provocation.
Dans une bagarre, il y a toujours celui qui porte le premier coup et c'est sur ce détail capital à mon sens, que j'attaque l'instruction à sens unique du magistrat instructeur Yves Madre qui fait de la victime, l'auteur et de l'auteure, une victime.