Bella Mani a insulté ouvertement Richard Bona pour avoir mal parlé de son nouveau son qui parle du Dagobert, étant entendu comme la partie intime de l’homme. Richard Bona a trouvé que c’était vulgaire et l’a dit franchement. Bella Mani a jugé cette sortie trop égoïste et a rendu la pareille. Comme troisième intervenant, l’activiste Jorel Jacques Zang fait un "carnage".
Mani Bella
1- le grand Aladji Touré avait initié les masters class au Cameroun. Combien d'artistes camerounais "autodidactes" ont participé à cette main tendue de formation ?
2- papa Eko Roosevelt a une école de musique au Cameroun, tu es partie le voir pour apprendre la musique ?
3- maman Anzouer Annie, en plus d'être une excellente chanteuse, fait du solfège et de la vocalise pour le travail de la voix.
4- la pétillante Kareyce Fotso sait lire les partitions depuis fort longtemps car elle a eu à faire des formations expresses pour pouvoir jouer avec un orchestre symphonique à l'étranger où on te donne juste la partition le soir et le lendemain matin tu fais la répétition avec des musiciens que tu n'as jamais vu (chacun de ses musiciens ayant déjà appris individuellement ses partitions) et le soir tu fais le concert.
Donc même si peut-être, tu pourrais dire que des cours de musique chez nos "peupah" Touré et Eko Roosevelt sont chers, je suis sûr que les "meumah" Anzouer et Fotso seraient heureuses de te donner des cours gratuits au nom de la solidarité féminine.
À côté de ces icônes, les directeurs techniques des groupes choraux ne manquent pas dans tout le Cameroun. C'est juste une question de volonté personnelle de faire du bon travail. Mais le problème, c'est qu'il y a un niveau de médiocrité comme le tien que même les génies qu'étaient Mozart ou Beethoven ne pourraient solutionner, même par un miracle s'ils étaient encore de ce monde.
Maintenant pour ta petite information, car malheureusement tu ne t'informes pas. D'ailleurs, comment le saurais-tu avec ton niveau. Richard Bona avait une grande ambition musicale pour son pays. Il a voulu ouvrir une école de musique dans son pays à plusieurs millions de francs CFA mais les autorités en charge de la culture en ont fait un problème politique.
Aucun artiste camerounais n'a dénoncé cela, pourtant un tel projet avec la dimension mondiale de Richard Bona pouvait non seulement donner de la visibilité à pleins d'artistes inconnus mais booster les carrières de ceux déjà là.
La médiocrité n'est pas artistiquement transmissible et c'est pourquoi il y a ceux et celles qui font la musique et les chansonnier(es) qui sont juste bons pour les bars/cabarets/anniversaires et "voir bébé". Ps : on doit rendre le port du cerveau obligatoire dans la culture camerounaise.