Culture of Thursday, 8 June 2023

Source: www.camerounweb.com

Affaire Ngannou : prise de peur face aux avertissements Coco Argentée s'excuse

Coco Argentée revient sur ses propos liés à l'albinisme Coco Argentée revient sur ses propos liés à l'albinisme

La chanteuse Argentée Coco a eu une attitude moqueuse et ringarde d’abord envers le sportif Francis Ngannou puis ensuite vis-à-vis de sa compatriote La coach blonde. Au premier, elle a reproché son ignorance en ce qui concerne les paroles de l’hymne national. À la deuxième, Argentée Coco a insulté son albinisme.

Pour reprendre exactement les mots de la célébrité Argentée Coco à l’égard de La coach blonde, elle a écrit sur les réseaux sociaux : « La coach blonde, un citoyen camerounais a l'obligation et le devoir de savoir chanter l'hymne national de son pays. Vos inepties ne concernent que vous. À mes yeux vous ne valez rien. Point final ».

Argentée Coco a par ailleurs dit d’autres noms d’oiseaux : « La coach blonde respecte ta peau idiote sinon je serai obligée d'inviter le soleil dans ta vie et tu connais le résultat. Je croyais que tu voyais seulement la nuit. Avec ses yeux en facette Guénon tu n'es qu'une chose, un machin. Tu ne représentes rien ».

C’est là que l’activiste Jacques Jorel Zang a sorti des dossiers, traitant Argentée Coco de femme qui se dépigmente sans aucun scrupule et d’autres méchancetés que les lecteurs peuvent découvrir dans cet article précédent .

Les vérités crachées à la figure de la star Argentée Coco par Jorel Zang ont poussé la chanteuse à faire une mise au point : « Ma réponse face aux attaques d’une certaine coach ne s’adressent qu’à elle seule. Que mes fils, sœurs, frères, parents, albinos du monde ne se laissent pas manipuler par certains esprits malveillants qui cherchent toujours à retourner la situation à leurs avantages ».

Argentée Coco fait savoir qu’insulter « ma progéniture, ma mélanine, me caricaturer de façon malsaine méritait une réponse proportionnelle à l’attaque. Ma réponse à ses propos n’est pas une généralité, mais une réponse à l’expéditeur donc la concernée qui n’est pas à son premier forfait mais, à la moindre contrattaque, opte toujours pour le jeu de la victimisation. Qui tue par l’épée meurt par l’épée. C’est interdit de pleurer. Nul ne détient le monopole du mal bouche ».