L’actrice Rachel Nkontieu ne va pas se faire beaucoup d’amis.es avec sa nouvelle sortie sur les réseaux sociaux. Elle concerne l’affaire de la mort ou de l’assassinat du photographe Samy Lenwr, une affaire dans laquelle on pointe sérieusement du doigt la boss lady Carine Mongoue, PDG de Carimo Empire.

Rachel Nkontieu a écrit sur sa page Facebook : « La vérité surtout divine est toujours juste. Mme Carine Mongoue, une fois de plus mes respects, vous avez montrez au monde votre courage. Votre parcours est un master class pour un(e) futur(e) entrepreneur(e) ».

« Carimo Empire la vérité est enfin là. Tes détracteurs ne voulaient aucune justice mais ils avaient mis sur pied un schéma pour t’extorquer 100 millions de francs CFA. Et ceux qui t’ont toujours détestée (certains commerçants qui font dans ton domaine) en ont aussi profité pour mettre de l’huile sur feu. Mes amours, je vous ai demandé ici d’avoir l’esprit de discernement. Je ne saurais prendre parti fermement quand je n’ai pas de bonnes raisons. La justice divine a été toujours pour les justes », a-t-elle complété.

Beaucoup de Camerounais et Camerounaises se sont immédiatement déchaînés sur elle, en pleine période où le drame de Mbankolo fait pleurer le pays. Rachel Nkontieu a répondu à ça que « tous ceux qui maintenant veulent ramener la tragédie de cette nuit sur Yaoundé pour me faire passer pour une personne sans cœur et une fois de plus me vilipender, me traiter de tous les noms d’oiseaux comme vous savez le faire, vous auriez souhaité que la vérité ne sorte jamais au grand jour mais la justice divine frappe toujours ».

« Mais c’est dommage et encore triste parce que vous n’avez aucun respect je dis bien aucun respect pour ces personnes partir si tôt et brutalement. Si vous en aviez, vous n’auriez pas pu vous servir de leur départ dans l’au-delà pour régler vos comptes. Mince, même jusqu’à l’heure actuelle, vous voulez encore vous le ramener ? Franchement, honte à vous. Je suis et serai toujours du côté du juste même dans le plus sombre des cas qui puissent paraître et je le défendrai mordicus si j’ai les éléments nécessaires que ce soit toi, lui, vous, X ou Y », clame-t-elle.