• Carimo est à nouveau accusée d’escroquerie

• Elle aurait voulu prendre comme gage le titre foncier d’une maman en difficulté

• Cette maman n’aurait pas été sa première victime

Après les accusations concernant le loyer impayé qui pèsent sur Carimo, de nouvelles révélations font surface. Une internaute témoigne avoir été victime, ainsi que sa mère, de la mauvaise foi de la femme d’affaires. « Carimo est une femme foncièrement méchante », a déclaré l’internaute avant de raconter son expérience.

Selon l’histoire, la mère de Carine Mongoue et la sienne font partir d’une même réunion, une réunion de leur village. La mère de l’internaute été confronté à une difficulté et avait besoin d’argent. « Il fallait la caution pour mes études au Canada. 12 millions, et ma mère n’avait que 8 600 000 Frs. Ma mère est allée à la réunion pour faire un prêt et comme la mère de Carimo est sur la table, ma mère lui a expliqué le problème. Elle a dit à ma mère de laisser, elle va l’aider. Le lendemain, Carimo appelle ma mère et lui dit qu’elle fait l’usure », explique-t-elle.

Elle continue en dévoilant que Carine Mongoue leur a proposé un prêt de 2 500 000 Frs pour un remboursement de 3 200 000 Frs 6 mois plus tard, faute de quoi, Carine Mongoue sera la nouvelle propriétaire du titre foncier de la maison dans laquelle cette famille vit. Ayant bien lu les documents, la mère de l’internaute décide finalement de ne pas les signer et de restituer l’argent à Carine Mongoue. « Les gens qui font l’usure travaille sur l’argent afin que tu ne rembourses jamais et ils volent tes biens », ajoute-t-elle.

Le calvaire commence lorsque la mère de l’internaute appelle son enfant et lui dit qu’elle est en cellule car Carimo l’avait fait arrêtée pour escroquerie. Elle a payé 2 000 000 Frs pour être libérée après 10 jours. « Carimo fait de l’usure et c’est avec ça qu’elle arrache les biens des gens. Elle le fait en complicité avec sa mère. C’est sa mère qui lui trouve des clients. Avant de prendre son argent, tu déposes ton titre foncier. Elle a déjà abusé de plusieurs femmes veuves ou pauvres dans leur réunion ».