• Coco Emilia rompt le silence et parle de son divorce

• Jusqu’ici, aucun des deux n’avait fait de révélations à ce sujet

• Francis Mvemba est toujours resté silencieux


Les querelles au sujet du football entre les Camerounais et les Ivoiriens ont très vites laissé place à une atteinte à la vie privée de certaines personnes publiques.

Toujours dans la mouvance des insultes à l’égard de Coco Emilia, les Ivoiriens ont parlé du divorce de cette dernière. IlS mettaient en avant le fait que son mariage n’a été qu’un feu de paille et que même pas un an après, elle se retrouve à nouveau célibataire.

« Dites à Coco Emilia que notre match contre l4egypte a duré plus que son mariage », a écrit une bloggeuse ivoirienne.


Visiblement habituée très forte face à ces paroles, la camerounaise n’a pas directement répondu aux différents détracteurs. Elle a fait un post sur son compte Snapchat :

« On parle d’un mariage pour lequel c’est moi-même qui ai décidé de partir mais surtout de demander le divorce nor ? ».

On comprend par-là que contrairement à ce qu’une sœur du congolais Francis Mvemba avait déclaré, la demande de divorce a été faite par Coco Emilia. Les rasions du divorce restent encore inconnues.

Avant cette publication, elle avait écrit, toujours sur son compte Snapchat:

« Tout ce qui était caché sera révélé. Le Seigneur expose toujours les personnes fausses et méchantes. Ça a déjà commencé. Regardons seulement. La vérité finit toujours par triompher ».


Selon certains pseudo ‘analyste’, ce message s’adressa à son désormais ex-mari.

Le congolais quant à lui n’a personnellement fait aucune révélation à ce sujet.
Les camerounais cependant n’ont pas manqué d’exprimer leur compassion et surtout de la défendre auprès des ivoiriens.


Nathalie Koah d’ailleurs s’est également exprimée à ce sujet :

« C’est notre étoile d’Etat ! On la défend sans réfléchir pian. Ce qu’on lui fait est injuste, elle n’a rien dit de mal, elle est restée dans le foot. On parle de son mariage, de sa vie privée pourquoi ? Quelle lâcheté ! On n’est pas en guerre contre les ivoiriens, mais il y en a parmi eux qui profitent de la pluie pour chier dans le torrent.»