Culture of Monday, 24 February 2025

Source: www.camerounweb.com

Débauche : ces révélations qui mettent à nu Indira Baboke

On ne poursuit pas deux lièvres à la fois On ne poursuit pas deux lièvres à la fois

Un membre, confortablement installé au sein de la diaspora, écrit à Indira Baboke. L’activiste très actifs sur les sujets d’actualité interpelle la fille du directeur adjoint du cabinet civil de la présidence de la République Oswald Baboke.

Indira Baboke, ma chère petite sœur. Je ne sais même pas par quoi commencer, car parfois tu donnes l'impression que toi-même tu ne sais pas réellement "qui tu es". Car à un moment, il faudra bien que tu nous dises si tu es réellement une femme dite de "Dieu" comme tu dis que tu es chantre ou alors c'est autre chose.

C'est toi qui parles de Jéhovah en longueur de journée tout en prônant le détachement à toutes choses de la terre et c'est encore toi qui es dans toutes les choses des mondanités de cette terre tout en faisant la promotion des stars profanes de ce monde. On ne peut pas prétendre servir Dieu et suivre en même temps un autre lièvre qui est le buzz et donc le mensonge.

Soit tu es chantre de Jéhovah l'Éternel, soit tu es déjà influenceuse comme les autres sur les réseaux sociaux qui vendent le rêve en longueur de journée. Par ailleurs, les artistes gospels comme toi manquaient au Cameroun et ailleurs pourquoi inviter un Fally Ipupa qui prône la musique profane ?

Un Fally même qui donnait l'impression de se foutre de la Bible que vous lui avez remise vu son comportement face à ta mère. Jusqu'à tes parents qui se disent pasteurs sont contents d'organiser un concert à 1 million par personne pour un artiste qui fait de la musique profane ? Les pasteurs du buzz, des mondanités et de la démonstration.

En tout cas, tu n'es plus un enfant, mais une femme. Tu dois choisir ta propre voix, car tu sembles vivre la vie que tes parents veulent t'imposer et non celle qui est la tienne et c'est pourquoi tu te mélanges dans toutes les sauces au point où on ne sait même plus "où te situer clairement".

En passant, monsieur et madame Baboke, sachez que votre maison manque cruellement de raffinement. Vous avez une décoration rustre qui cache votre très mauvais goût et c'est vraiment dommage et même regrettable pour des milliardaires fabriqués avec les fonds publics (…). Bref Indira, soit celle que tu veux être réellement, car clairement tu sembles vivre la vie d'autrui qu'on t'impose et du coup, tu te perds. On ne poursuit pas deux lièvres à la fois.