Considéré comme une maladie qui touche une grande majorité de personnes dans le monde, le phénomène d’éjaculation précoce trouve, d’après les explications de l’ethnomedecin Hermann Gabriel NDI, une solution définitive en Afrique lors d’un traitement dans la medecine traditionnelle africaine et la nathuropathie.
D’après plusieurs études faite par certains cabinets français, les infections sexuellement transmissibles touchent à peu près 90% de la jeunesse mondiale. D’après cette étude, en France, une jeune fille de 16 ans (80% des cas) comptabilise déjà 21 rapports sexuels avec des partenaires differents. Chez les hommes, le phénomène sexuel est presqu’identique à la difference que les jeunes hommes accumulent ainsi lors de tous ces ébats amoureux des infections asymptomatiques résutant de plusieurs penetrations sexuelles. Au final et avec l’âge assez avancée, certains jeunes constatent ainsi qu’ils sont atteint d’éjaculation précoce. Une maladie curable mais qui doit au préalable être décelée à partir d’examens médicaux.
En Afrique et au Cameroun, si l’éjaculation précoce touche une partie importante de la population jeune, ce sujet est un « tabou » permanent et une source de nombreux conflits dans les foyers. Lorsque les frustrations atteignent generalement le seuil du « pas tolérable » le conjoint préfère souvent aller se soulager ailleurs au lieu de soulever le sujet, sujet de querelles, dans le foyer. Que peut-on faire pour soit diminuer ce phénomène soit l’éradiquer de la société ; l’ethnomedecin Hermann Gabriel NDI, qui possède un cabinet de medecine traditionnelle africaine au Cameroun, à Yaoundé et au quartier Essos au lieu-dit Hotel de l’Avenir, donne ainsi des pistes de solutions dans cette interview.
Qu’est ce que l’éjaculation ?
Avant de commencer à parler de l’éjaculation, permettez-moi d’abord de parler du sexe.
Alors le sexe est l’ensemble des caractères qui permettent de distinguer deux genres à savoir mâle et femelle qui assurent la reproduction sexuée des espèces. Chez l’être humain, les deux genres sont représentés par l’homme et la femme qui, lorsqu’ils atteignent l’âge adulte s’unissent sexuellement pour assurer la reproduction des espèces.
Maintenant revenant à la question, l’éjaculation chez l’homme est une émission de sperme par l’urètre au moment de l’orgasme. L’éjaculation est un reflexe provoqué par les stimulations rythmées du pénis lors des rapports sexuels ou de la masturbation. Au moment de l’éjaculation, le sperme est évacué dans l’urètre prostatique puis projeté à l’extérieur grâce à la contraction des muscles du périnée. Lors de cette projection, le col vésical situé à la sortie de la vessie est fermé empêchant l’ejaculade de retourner vers la vessie et l’urine de se relier au sperme.
L’on constate dans plusieurs pays du monde entier que, principalement, l’homme souffre d’éjaculation précoce lors de la pratique de rapport sexuel avec la femme. Un problème d’ordre mondial. Après combien de temps lors des rapports sexuels peut-on affirmer qu’une éjaculation a été précoce ?
L’éjaculation précoce ou prématurée se produit au moment où voudrait se passer la pénétration. En général, les hommes souffrant de cette maladie pénètrent la femme très peu ou pas du tout mais éjaculent. Ce qui tue le plaisir et laisse le partenaire sexuel sur sa faim.
Après combien de minutes ?
Il n y a pas une comptabilité spécifique en terme de temps ou de minutes pour affirmer qu’une éjaculation a été précoce. Mais le principe universel sur l’éjaculation avant de pénétrer la partenaire ou de la pénétrer très peu avant de déverser son sperme, pourrait constituer la preuve qu’il y a eu effectivement une éjaculation précoce lors des rapports sexuels.
Dans la médecine dite conventionnelle, le spécialiste vous affirme que cela pourrait survenir lorsque cela est récurrent d’un état d’anxiété ou de stress permanant. D’où la prescription à plus de la grande majorité de personnes souffrant de cette pathologie de psychotropes.
Dans l’ethnomédecine, nous chercheurs ne confondons pas faiblesse sexuelle et impuissance sexuelle. Car pour l’impuissance sexuelle c’est tout simplement l’incapacité d’un homme à maintenir une érection et trouver satisfaction lors des rapports avec sa partenaire de sexe opposé.
A votre avis et celle de l’ethnomedecin, qu’est ce qui pourrait causer cette maladie chez les hommes ?
Il faut dire que même pour l’impuissance sexuelle qui a des causes cliniques nombreuses, la faiblesse sexuelle à presque les mêmes causes à la différence qu’elle touche des hommes bien portant physiquement.
Sans devoir nous répéter, je puis affirmer que la faiblesse sexuelle pourrait également survenir d’une intervention chirurgicale, (ablation de la prostate), le stress, le diabète, l’hypertension, la hernie discale, l’obésité, la peur ou la monotonie, une déception amoureuse qui provoqué un choc assez important.
D’après toutes vos explications peut-on savoir si à partir de l’ethnomédecine cette maladie peut-être soignée ? Y a-t-il un traitement efficace pour arriver à guérir de cette maladie ?
Oui il existe un traitement. Mais comme je ne cesserais de le dire, le mieux pour un patient venant se soigner chez un ethnomedecin, c’est de pouvoir d’abord au préalable faire ses examens médicaux qui ne font aucun doute sur le mal dont il souffre. S’il s’agira d’un traitement à faire, je donnerais pour le soulager définitivement.
Le sexe c’est la vie. Pour avoir une bonne santé, il faut pratiquer les rapports sexuels constamment. Sinon pour vivrez dans l’angoisse, l’anxiété, la peur, etc.
Peut-on guérir définitivement de cette maladie ?
Oui. Il faut connaitre la cause de cette faiblesse sexuelle avoir d’entamer un traitement.
En médecine naturelle ou traditionnelle, l’efficacité d’un traitement se constate à partir de 3 mois car s’il y a eu accumulation, le déracinement du mal prend un temps important avant de s’en aller à partir de traitement à bases de plantes, etc.
Pour la faiblesse sexuelle, il ne suffit pas de prendre des aphrodisiaques et dire qu’on est guérit. Le mal continue dans le corps et pourrait atteindre une chronicité dangereuse.
D’autres naturopathes déclarent souvent que pour soigner une faiblesse sexuelle ou l’éjaculation précoce, ils procèdent généralement par un nettoyage de la ceinture rénale. Moi je dis non car il n’existe aucune ceinture rénale dans le corps humain. Ceux-là sont des charlatans. J’affirme ici en disant que dans la médecine naturelle ou traditionnelle africaine, les médicaments donnés en traitement améliorent l’état général du patient et de l’homme qui suit sa thérapie de façon draconienne.
Dans votre laboratoire actuellement, trouves-t-on des médicaments qui soignent définitivement les hommes de l’éjaculation précoce ?
Il faut dire que la meilleure source de santé réside dans la médecine traditionnelle africaine ou en naturopathie. Celle conventionnelle n’a jusqu’ici aucune solution pour réussir à soigner une impuissance sexuelle ou l’éjaculation précoce. Nous, médecins traditionnelles, connaissons les plantes qui ont prouvé leur efficacité. Nous composons des médicaments pas seulement pour l’impuissance sexuelle, l’éjaculation précoce ou la faiblesse sexuelle mais également pour améliorer l’état général de l’homme.
Quelle est même la différence entre l’impuissance sexuelle et l’éjaculation précoce ?
Pour affirmer qu’il y a impuissance sexuelle, l’on constate que l’homme n’a pas d’érection pour pénétrer la femme. Alors qu’une éjaculation précoce, le pénis se tend presque convenablement et soit vous pénétrer à peine avant de jouir ou soit le pénis se tend convenablement mais vous éjaculé avant de pénétrer.