Après une période de passage à vide, l’influenceuse Coco Emilia est de retour depuis quelque temps maintenant, elle qui est apparemment passée par une étape de dépression. Les infos disent même que n’eut été un traitement efficace dans un centre de santé, Coco Emilia serait devenue folle.

Son histoire, tout le monde la connait. Mais s’il faut encore la rappeler, le cauchemar de la Camerounaise a commencé lorsque le Congolais Francis Mvemba lui a montré son vrai visage de « menteur », « hypocrite », « homme infidèle », « mythomane », selon les propres mots de Coco Emilia.

La jet-setteuse a souffert de cette rupture, surtout que le sieur Mvemba ne se privait pas d’enfoncer le doigt dans la plaie béante, avec des sorties pompeuses et provocatrices. Des amies proches de Coco Emilia ont révélé qu’elle était devenue incontrôlable et dangereusement imprévisible.

Dorénavant, elle semble laisser tout cela derrière elle. La célébrité a publié des photos sur sa page Facebook avec les phrases suivantes : « Le bonheur est quelque chose que les gens cherchent à trouver, mais ce qui définit le bonheur peut varier d'une personne à l'autre ».

Coco Emilia fait savoir que « typiquement, le bonheur est un état émotionnel caractérisé par des sentiments de joie, de satisfaction, de contentement et d'accomplissement. Bien que le bonheur ait de nombreuses définitions différentes, il est souvent décrit comme impliquant des émotions positives et la satisfaction de la vie ».

« Lorsque la plupart des gens parlent du vrai sens du bonheur, ils peuvent parler de ce qu'ils ressentent dans le moment présent ou faire référence à un sentiment plus général de ce qu’ils ressentent de la vie parce que le bonheur a tendance à être un terme si large, les psychologues et autres spécialistes des sciences sociales utilisent généralement le terme "bien-être subjectif" lorsqu'ils parlent de cet état émotionnel. Tout comme ça en a l'air, le bien-être subjectif a tendance à se concentrer sur les sentiments personnels globaux d'un individu à propos de sa vie dans le présent », conclut Emilia.