Le 18 février prochain, «Revenge Porn», fera sa sortie officielle à Paris. Le livre de l’ex-petite amie de Samuel Eto’o Fils, le goléador camerounais, raconte et partage les six années de concubinage qu’elle a eu avec le célèbre footballeur. Mais avant même la sortie de cet ouvrage, quelques bien-pensants faux snobs et « eto’olatres » infestent les réseaux sociaux, question de reprocher à l’auteur d’avoir osé écrire ce livre.
Pourtant, pour Nathalie Nkoah, ouvrage intimiste revêt une dimension thérapeutique. Selon le quotidien Le Jour n°2118 du vendredi 5 février 2016, c’est « une façon pour elle de guérir tout le mal dont elle accuse son ancien amant », lit-on dans les colonnes du journal. Il y a environ un an, des photos intimes qu’elle échangeait avec son amant se sont retrouvées sur les réseaux sociaux. Rien ne lui sera alors épargné; injures, sarcasmes, calomnies, médisances. La jeune femme est bord du suicide.
Mais il y a longtemps que la jeune femme de 27 ans est vaccinée, immunisée et bien cuirassée contre ces imprécations qu’on jette sur elle. Pendant sa liaison avec le footballeur, « elle a fait des choses dont elle n’est pas fière et le confesse dans son livre », souligne Le Jour. Elle est surtout coupable d’avoir cédé aux bizarreries sexuelles de l’homme qui lui offrait le ciel et des croyait tout permis.
Aujourd’hui, tout cela semble être loin derrière elle. Après toutes les confessions qu’elle fait dans son ouvrage, les blessures qui jusqu’à il y a près peu de temps, étaient ouvertes, commencent à cicatriser. « Près d’un an après la fin de ma relation avec Samuel Eto’o et son épilogue qui a bouleversé ma vie à tout jamais, je ne ressens plus de haine vis à vis de l’homme avec qui j’ai partagé plus de six ans de ma vie. De notre histoire, je préfère retenir l’affection profonde et sincère, l’immense complicité et les fous rires interminables. Je ne lui veux sincèrement aucun mal. Ce témoignage n’est pas celui d’une femme voulant se venger de l’homme qui l’a tant blessée », conclut l’ex-hôtesse de l’air de Camair-co. Visiblement, pour l’ancienne maîtresse du «Dieu des stades», tout est pardonné.