Culture of Thursday, 10 November 2022

Source: www.camerounweb.com

Je préfère mourir que de repartir dans cette relation - Ténor depuis Abidjan

Tenor et Eunice Tenor et Eunice

Contrairement à ce qui se raconte un peu partout sur les réseaux sociaux, Ténor n'a pas cherché à retourner avec Eunice Zunon.

Sur le réseau social Tik Tok, Ténor exacerbé par les demandes de certains fan lui demandant de retourner avec Eunice, a répondu d'un ton sec et avec des mots durs qui brisent le dernier espoir de ceux qui espèrent revoir ce couple se remettre ensemble.

"Elle ne représente plus rien pour moi, je suis focus sur ma carrière !
C'est mort , heureusement que j'ai le talent (...) Elle a touché le fond, elle a fait ce qu'il ne fallait pas, je préfère mourir que de repartir dans cette relation. Je serai bientôt en concert à Abidjan pour remplir le palais de la culture...j'aime trop les Ivoiriens, c'est la famille", écrit l'artiste camerounais en réponse à un des commentaires.

La bagarre entre Ténor et sa fiancée ivoirienne Eunice, a alimenté plusieurs plateformes de réseaux sociaux notamment en Afrique subsaharienne, il y a quelques mois.

Dans une vidéo devenue virale, on peut voir le Camerounais subir une violence de la part de sa chérie Eunice. Selon Jean Crépin Gondo, rien ne justifie la violence sous toutes ses formes.

Il laisse clairement voir sin avis sur l'affaire Ténor Eunice.

« Accepter consciemment d'avoir des rapports libidineux avec un homme la veille et le lendemain le voir refuser de continuer la relation ne donne pas le droit de devenir violente. Rien ne justifie la violence sous toutes ses formes. (morales, psychologiques, physiques, spirituelles..) », Indique t il.

« C'est moins viral et on préfère en rire parce que c'est un homme qui a subit ça. Mais imaginons si c'était une femme qui avait été "cadena" de la sorte et qui de peu allait avoir le crâne ouvert par une bouteille ? On la voit clairement le pousser à bout mais cette fois nos chères féministes ont choisi de se murer dans leur mutisme légendaire. La condamnation de la violence ne doit pas avoir de genre », poursuit il.