Il fut un temps où les musiques étrangères étaient diffusées à outrance dans les clubs, les kermesses, bref, les espaces à forte mobilisation de jeunes, et surtout les bars, fiefs de jeunes et moins jeunes.
L’artiste Disque D’Or en France, Franko, s’en souvient comme si c’était hier. Sur l’un de ses posts il y a quelques heures, il avoue d’ailleurs être soulagé car jouer de la musique urbaine locale relevait d’un exploit.
Aujourd’hui il s’estime heureux de pouvoir s’y retrouver de temps en temps pour écouter de la bonne musique urbaine camerounaise :
« Quelle fierté ça procure !!!!!…je ne suis pas fan des snack et des bars mais au moins aujourd’hui j’ai une bonne raison d’y aller….je peux écouter la musique de mes collègues et danser dessus…et dire qu’il ya quelques temps encore c’était un exploit d’être joué en boîte pour un artiste de la musique urbaine. » S’est-il réjouit.