• Muriel Blanche affiche un comportement jusqu’ici inconnu de son public

• Elle est désormais sur la défensive et ne manque jamais de répondre aux commentaires négatifs

• Pour Peupah Zouzoua, elle est dans l’ombre de certaines influenceuses

Plusieurs internautes remarquent de plus en plus le caractère de Muriel Blanche qui a changé. Elle qui été polie ou préférait parfois ignorer certaines attaques devient subitement susceptible et ne laisse aucun commentaire négatif passé. Un blogueur camerounais dénommé Peupah Zouzoua a fait une publication pour expliquer selon lui, le changement de comportement de Muriel Blanche.

Pour le bloggeur, Murielle essaye de copier certaines influenceuses camerounaises.

«Muriel Blanche dans l’ombre de certaines influenceuses ? La question que beaucoup commencent à se poser car depuis peu, elle affiche un comportement digne d’une courte fille qui ne veut pas voir son ex heureux dans sa nouvelle relation. Un peu un peu elle répond comme la déesse du « back du sender » et la déesse de la non camaraderie. Que se passe-t-il ? », s’est-il demandé.

«N’est-ce pas on reste nous on entend qu’une affaire de pub a mal tourné avec une cliente ? Apparemment la fille a négocié jusqu’à elles se sont accordées sur 150 000 Frs pourtant c’est normalement 500 000 Frs qu’elle prend. Voilà donc que l’affaire a mal tourné et Muriel Blanche a versé les organes. « Personne ne peut me commander madame. Je vais te rembourser le double. », avait déclaré Muriel Blanche. », a-t-il expliqué avant de conclure en soulevant le fait que l’actrice camerounaise affiche des comportements propre à Nathalie Koah et Coco Emilia.

« Alors, on veut comprendre, l’influenceuse serait-elle influencée ces derniers temps par Biscuit de mer et Nathalie Koah ? Notons qu’elle a rencontré Coco Emilia lors de la projection de son film "Aline" et Nathalie Koah à paris pour le meet and greet de renaître. En tout cas, si elle fait déjà le post à 500 000 FCFA comme elles, alors elle va bientôt être au même rang. Pour l’instant, peut-être c’est la quantité d’opportunités qui les sépare», ajoute Peupah Zouzoua