Après avoir rejeté l’invitation de Bruno Bidjang à débattre autour de l’affaire Dubai Porta Potty sur Vision 4, les influenceuses camerounaises ont retrouvé leur latin. Particulièrement amère contre les invitées qui ont participé au programme « Club d’Elites » de ce dimanche, la Camerounaise déverse son venin sur la comédienne et humouriste Laure Moa Minga sans la nommer.
« Dans vos carrières cinématographiques ou humoristiques, on vous paie mal ou pas du tout, simplement parce que vous êtes nulles de chez nulles soit parce que vous ne valorisez pas votre talent. Pourquoi en vouloir au monde entier », a-t-elle écrit avant de revenir à la charge pour expliquer pourquoi certains humoristes camerounais ne réussissent pas dans leurs projets.
« Et surtout parce que vous êtes encore en quête de reconnaissance ou de recherche de notoriété à tout prix du coup vous décidez vous même de brader votre image. En prenez-vous à vous-même et laisser les autres jouir du fruit de leurs efforts et de leur intelligence. Prenez exemple sur vos collègues qui sont dans le même domaine mais qui brillent plus que vous. Dans ce monde, il faut avoir les pieds sur terre, être un requin, risée, sage, intelligente sûre de sois mais surtout cultivée sinon vous n'irez jamais nulle part », conclut-elle.
Coco Emilia a également servi Miss Cameroun avait déclaré que les influenceuses sont des prostituées. "Depuis la nuit des temps, les filles se prostituent. C'est juste qu’aujourd’hui on utilise un voile qui est ce mot d’influenceuse. Mais non, ce ne sont pas des influenceuses, ce sont des prostituées. Les influenceuses aujourd'hui ce sont les femmes qui n'ont pas de métier officiel. On ne sait pas ce qu'elles font mais tous les jours ont les voit avec des sacs à main… Etre influenceur, ce n’est pas un métier. Je trouve inconcevable que la femme se considère comme une toilette. Il faut condamner cela. Je trouve dommage qu’on attribue le terme d’influenceur à tout le monde", avait déclaré Miss Jualia Samatha sur Vision4.
La réponse de Coco Emila, l'une des plus grandes influenceuses camerounaises ne s'est pas faite attendre.
« Où vous choisissez souvent même vos miss là? Sur quelles critères? Même s'exprimer correctement, incapables. Quelqu'un qui n'arrive même pas à se reconnaître sur ses propres photos. Goat », a -t-elle écrit.