Dans une confession intime publiée sur une plateforme anonyme, une femme de 29 ans, mère de trois enfants, partage son calvaire. Mariée depuis sept ans à un homme de confession musulmane, elle explique avoir cédé à l'un des fantasmes les plus intimes de son époux : la pratique régulière de la sodomie, une activité devenue la norme dans leur relation intime, sauf durant les périodes de conception.

Elle raconte que tout a commencé après leur mariage. Bien qu’elle ne fût pas vierge, elle n’avait jamais pratiqué cet acte avant d’épouser son mari. C’est suite à leurs discussions sur leurs fantasmes respectifs que son mari lui a avoué son désir profond de s’engager dans cette pratique. « C'était son fantasme le plus fou et il voulait qu’on le fasse. » Au départ, elle hésitait, mais a fini par accepter de « lui ouvrir les portes du pays bas », une expérience qui, selon elle, a d’abord été agréable.

Cependant, au fil des années, cette pratique est devenue répétitive, presque systématique, et aujourd'hui, les conséquences physiques et émotionnelles sont lourdes pour elle. Depuis environ un an, elle vit un véritable calvaire. « Mon anus ne tient plus », confie-t-elle.

« Il y a un liquide blanchâtre qui coule et ça me dérange beaucoup », ajoute-t-elle, décrivant également une mauvaise odeur persistante qui la suit partout, au point de l’isoler du monde extérieur. Son état de santé est tel que même son mari, autrefois demandeur de cette pratique, ne la touche plus.

« J'ai essayé quelques produits traditionnels, mais rien ne marche », poursuit-elle, désespérée.