Culture of Monday, 2 May 2022

Source: www.camerounweb.com

Tourisme sexuel à Dubaï : fuite des extraits des contrats des influenceuses

Certaines filles touchent 3 millions de francs CFA Certaines filles touchent 3 millions de francs CFA

Le tourisme sexuel en vogue à Dubaï depuis plusieurs années déjà dévoile une petite partie de sa face cachée. Les internautes découvrent au jour le jour les pratiques sexuelles déviantes auxquelles se livrent certaines africaines à la recherche de célébrité et de richesse. Selon plusieurs recoupements, les candidates à l’aventure « paradisiaque » de Dubaï ne déboursent presque rien. Des agences spécialisées prennent en charge le transports, l’hébergement, la restauration et tous les besoins des filles durant leur séjour.

Une fois sur place, elles prennent connaissance des détails de leurs contrats. Les plus chanceuses, peuvent tomber sur des hommes qui veulent entretenir des rapports sexuels de manière ordinaire. Mais dans la pratique, ces filles sont soumises à des pratiques sexuelles extrêmes. Selon les confidences d’une influenceuse, la consommation des matières fécales des « clients » est une pratique courante à Dubai. Les prix varient entre 250 000 fcfa et 3 000 000 f cfa en fonction des ambitions des filles. Celles qui sont capables de consommer les excréments à même le sol touchent 1, 5 million F CFA , Celles qui exigent des serviettes et autres accessoires perçoivent 250 000 FCFA. Les plus audacieuses et les mieux rémunérées sont celles qui acceptent que les clients défèquent directement dans leur bouche. Elles touchent 3 000 000 FCFA. Un bonus de 500 000 est offert à celles qui avalent les excréments qui débordent sur leurs lèvres et joues.

Pour se faire le maximum d’argent, les filles sont contraintes de multiplier les clients. Les plus audacieuses finissent leur séjour à Dubai avec en moyenne 30 millions de francs FCFA dans les poches.


Une Camerounaise témoigne



Les riches arabes de Dubai trouvent de plus en plus leur plaisir en traitant de belles et ravissantes jeunes filles comme des animaux. La scatophilie, comportement sexuel déviant, impliquant une attirance pour les excréments, les matières fécales est devenu leur sport favori.

Une influenceuse camerounaise tombée sous le charme des belles images des filles africaines à Dubai a également décidé de tenter l’aventure. Celle qui témoigne derrière le pseudonyme de Marie a vécu l’enfer dans ce pays de riches.
Pour réaliser ce qu’elle croyait être son rêve, elle avait juste fait quelques recherches sur internet pour tomber sur une agence qui l’a fait voyager sur Dubai au bout de deux mois.

« Une fois arrivée à Dubai, l'agence qui a accompagné Marie durant tout son voyage, prend donc le soin de donner la première semaine à celle-ci, de faire tout ce qu'elle veut et de dépenser autant d'argent qu'elle a envie. C'est ainsi qu'elle se rend dans les endroits les plus chics et les plus luxueux de Dubai. Celle-ci ne manque pas de faire de très belles photos et de très belles vidéos pour poster sur Instagram », raconte l’influenceur à qui Marie s’est confié.
Le rêve a été de courte durée. Après ces bons moments, fut venu le moment de rembourser. Les « partenaires » de Marie qui étaient gentils avec lui jusqu’ici, lui expliquent qu’elle devrait livrer son corps à plusieurs riches hommes. Son téléphone portable et son passeport furent ainsi saisis.

« Des hommes vont défiler dans la chambre de Marie, non pas pour consommer son piment par devant mais dans tous les orifices de son corps. Il y a des pratiques encore plus mystiques. D'autres font jusqu’à déféquer sur le corps de Marie », raconte le confident de Marie qui précise qu’elle couchait en moyenne avec une dizaine d’homme par jour.

Une fois sa dette remboursée, les « partenaires » de Marie lui donnent une importante somme d’argent et la ramène au Cameroun. Depuis ce jour, cette jeune dame ne s’est pas remise de cette dangereuse et humiliante aventure.