Culture of Thursday, 24 February 2022

Source: www.camerounweb.com

Tous ceux qui m’accusent ne resteront pas impunis - Prince Essaka, ami de Yann Ketchanga

Yann Ketchanga et Prince Essaka Yann Ketchanga et Prince Essaka

• Yann Ketchanga serait mort d’empoisonnement

• Prince Essaka, un de ses proches amis est accusé par les internautes

• Les deux amis avaient partagé un repas quelques jours plus tôt



Jusqu’ici, aucune source officielle ne confirme que l’entrepreneur Yann Ketchanga est mort de suite d’un empoisonnement mais les internautes ne cessent de soulever cette hypothèse et ont d’ailleurs trouvé un suspect principal.

Selon plusieurs personnes, le principal suspect est Prince Essaka, ami très proche du défunt avec qui il a partagé quelques jours plus tôt un repas chez lui. Des rumeurs disent que ce repas a été partagé le dimanche, jour où le malaise de Yann a débuté.

"Non, on a mangé le Ndolè ensemble il y a 2 semaines. La vidéo que j’ai posté date de 2 semaines. Yann était à Buea la semaine dernière et c’est de là qu’il a commencé à avoir mal au ventre", a répondu Prince Essaka à une internaute qui l'accuse d'avoir empoisonné son ami.

Il a ensuite fait une publication sur son compte Snapchat pour mettre les choses au clair.

"J’écris pour mes proches qui se sentent interpellés par les propos diffamatoires contre moi. Les vidéos postées de Yann et moi mangeant le Ndolè datent de presque 3 semaines. Yann est tombé malade ce week-end, la dernière fois qu’on s’est vu c’était dimanche il y a 10 jours. Ne vous laissez pas distraire par la manipulation des images et éventuellement des dates sur les réseaux sociaux ", déclare-t-il.

Cette précision visiblement n’a pas calmé les internautes qui estiment que le poison peut durer dans un organisme avant de causer la mort.

Prince Essaka revient cette fois avec des avertissements à l’égard des personnes qui continuent à l’accuser.

"Sachez que le désordre est collectif mais au moment d’assumer on se retrouve seul et on assume. Vos écrits ne resteront pas impunis, sachez-le. J’en fais une affaire personnelle. Trop c’est trop. Le Cameroun n’est pas devenu la cour du roi Petto où chacun peut vociférer et faire ce qu’il veut sans conséquence, le malchanceux que je vais attraper va payer pour tout le monde. Je vous en fait la promesse", a-t-il conclu.