Traitée d’occultiste, Nathalie Koah explique ce qu'elle est allée faire au Congo

• Elle a récemment voyagé au Congo

• Elle a partagé avec sa communauté, des photos de sa visite chez un roi et une reine

• Les internautes l’encerclent avec des critiques


Lors de son récent séjour au Congo, la jeune influenceuse a visité le roi et la reine Ngalifourou, gardienne du pouvoir spirituel de leur communauté. Nathalie Koah a partagé avec sa communauté, les photos de cette visite.

Pendant que certains abonnés se sont contentés d’apprécier la photo et d’autres de parler de sa belle-famille qu’elle est allée visiter, d’autres ont estimé qu’elle est partisane de l’occultisme.

"Gardien du pouvoir spirituel ? Ma chérie je t'aime bien mais là tu as appuyé sur un bouton qu'il ne fallait. Il y a un seul et unique gardien spirituel qui est Dieu, il nous a aimé au point de sacrifier son fils unique Jésus-Christ qui est entrain de jeûner et prier dans le désert pour notre salut", a commenté une internaute.

D’autres encore ont estimé qu’elle devrait également parler avec la même énergie de la culture camerounaise. "Ayant laissée les tiennes dans le centre /Cameroun sans aucun hommage et allée valoriser de l'autre côté de la rive est soit la naïveté ou la cancritude", a déclaré l’un d’eux.

Suite à ces différentes attaques verbales, la jeune entrepreneure a fait une autre publication dans laquelle elle s’adresse à ces personnes qui pensent la tradition n’exclut pas la religion.

"Il y en a ici qui confondent vraiment tradition, coutume avec religion ? Marabout ? Etc. Les colons qui ont ramenés la forme la plus répandue de religion ont trouvé la tradition hein ? Ils ont trouvé nos coutumes hein ? Ou bien la colonisation vous a aussi lessivé le cerveau ? Croire en Dieu n’est pas ignorer les traditions ni les coutumes et inversement. Soyons moins passionnés les amis. D’abord, il y a des débats là que je n’aime pas entamer. J’étais là", a-t-elle publié.

Plusieurs autres internautes ont apprécié sa façon de valoriser la culture africaine et de permettre à sa communauté de découvrir à travers ses publications le Congo et ses sites touristiques.