C’est ce qui dit dans son témoignage dont la fin vous surprendra : « Il pleuvait tellement cette nuit-là et mes parents sont allés à une veillée nocturne, il n'y avait que ma sœur cadette et moi dans la maison, le tonnerre et la tempête devenaient si insupportables que tout le bâtiment tremblait comme s'il allait s'effondrer dans la minute suivante.

J'ai entendu un grand coup à la porte et je me suis demandé qui ce serait. Je me suis souvenu plus tard que nous n'étions que deux dans la maison, donc ce ne serait personne d'autre que ma sœur. Je me suis levé du lit, je suis allé vers la porte et je l'ai ouverte.

C'était exactement ce que je devinais, elle a couru dans ma chambre en toute vitesse. J'ai rapidement verrouillé la porte, car je ne savais pas ce qui la poursuivait. Qu'est-ce qui ne va pas, ai-je demandé en la trouvant déjà recroquevillée et frissonnante sur mon lit.

« J'ai peur de ne pas pouvoir dormir seule », marmonna-t-elle avec crainte. Je lui ai dit d'utiliser le lit pendant que je dormais sur le tapis mais elle a insisté pour que je reste dans le lit, sa pression était forte et je n'avais pas d'autre choix que de céder.

Alors, je me suis allongé sur le lit et j'ai laissé un peu d'espace, mais à chaque fois que le tonnerre frappait, elle me serrait dans ses bras, je retirais lentement ses mains mais quand un autre éclatait, elle me rendait toujours son étreinte. J'ai regardé son visage et j'ai découvert qu'elle dormait paisiblement, donc je n'avais pas d'autre choix que de la laisser me serrer dans ses bras de cette façon.

Son corps était si chaud et se sentait si bien. Plus tard, je me suis endormi et quand je me suis réveillé, il était déjà six heures du matin, je l'ai observée et elle dormait encore. Je l'ai réveillée et lui ai dit qu'il était temps pour la dévotion du matin. Nous avons prié pendant 30 minutes et elle m'a remercié et est partie préparer l'école. C'est comme ça que j'ai couché avec ma sœur de sang ».