Faits Divers of Thursday, 6 January 2022

Source: www.camerounweb.com

Une odeur nauséabonde s’invite à Yaoundé à quelques heures de la CAN 2021

Yaoundé sent mal à quelques heures de l’ouverture de la CAN 2021 Yaoundé sent mal à quelques heures de l’ouverture de la CAN 2021


• Yaoundé sent mal à quelques heures de l’ouverture de la CAN 2021

• Un dépotoir sauvage en est la cause

• Ce dépotoir au lieu-dit « Carrefour hôtel le paradis » met mal à l’aise les riverains


A quelques heures de la CAN 2021, ça sent mal au quartier Ngousso à Yaoundé. Une odeur nauséabonde s’invite dans le quotidien des populations.

En effet, presqu’une partie de la chaussée est prise d’assaut par la poubelle au lieu-dit « Carrefour hôtel le paradis ».

L’information émane de nos confrères de Le Jour. Selon le confrère, la situation met en mal le bien-être des populations. Un tas d’ordures a abrité le long de la route dudit carrefour.

La cause est toute simple. Les riverains affirment que cela est dû aux travaux routiers enclenchés il y a plusieurs mois sur ce tronçon de la capitale.

Pour certains, il y a même une nette amélioration comparée aux jours d’avant. « Les ordures atteignaient le rond-point. Les voitures venant dans les deux sens utilisaient le même côté de la route. Les ordures ont certes été ramassées mais la position du bac en elle-même pose problème », explique notre confrère Le Jour.

En 2021, une grève du personnel de la société d’Hygiène et Salubrité du Cameroun (Hysacam) a fait un réel effet. Cette grève des employés d’Hysacam, apprend-on, est le résultat de la situation qui inquiète les populations ?

« Ce bac à ordures nous gêne à cause des odeurs qu’il dégage et sa position sur le trottoir. Si vous avez bien remarqué, il bloque la circulation, obligeant ainsi les automobilistes à emprunter d’autres chemins, à rouler parfois à contre sens. Ce qui cause de nombreux accidents », explique Junior, un riverain du coin.

Une alerte est lancée aux autorités de la commune afin de solutionner ce problème qui risque de ternir l’image de la ville et par ricochet, celle du pays.