S’il y a bien une personne que les internautes voulaient entendre sur le sujet, c’est Diana Bouli. La créatrice de contenus a découvert, comme tout le monde, les vidéos intimes du directeur de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) en Guinée Équatoriale. La Camerounaise donne son avis sur cet état de chose.
Diana Bouli est suivie par des millions d’abonnés sur tous ses comptes sur les réseaux sociaux. Alors quand elle parle, elle est beaucoup écoutée.
« J’ai l'impression que vous voulez à tout prix qu’il y ait des influenceuses dans la liste de Baltasar. Mais vous êtes surpris que les femmes que vous voyez dans les vidéos, bien que je sois désolée pour ce qui leur arrive, ce sont des femmes que vous estimez souvent comme respectables, mariables », enfonce Diana Bouli.
La célébrité affirme que là maintenant, « vous avez la définition de l’habit ne fait pas le moine. Tu peux être une femme très sexy, avoir un bel appétit sexuel, vouloir te filmer, tu peux faire ce que tu veux de ton corps. Tu peux aussi être une femme très sexy et être plus réservée, t’aimer toi-même ».
Aussi, ne manque pas de souligner celle qui vit actuellement en Côte d’Ivoire, « tu peux être une femme très couverte et avoir aussi un très fort appétit sexuel qui te fait faire des dingueries. Comme tu peux être une femme bien habillée qui est très préservée ».
Donc, termine-t-elle, « faudrait que cette histoire vous montre quelque part que l’habit ne fait pas le moine. C’est dommage que les vidéos soient sur la place publique parce que c’est normalement des trucs qui doivent rester privés. Il y en a plusieurs même qui jugent, mais qui le font dans la vraie vie. Vous le faites ! Avec vos chéris, avec vos ex, avec plein de gens, ça arrive. Mais juste que l’habit ne fait le moine. C’est ce que ça m’apprend encore plus, parce que je le savais déjà et vous devez aussi apprendre ça derrière cette histoire ».