En dehors de Martin Belinga Eboutou, donneur d'ordre de l'assassinat de l'Abee Armand Djama et de celui de Mgr Jean-Marie Benoit Bala. Piero Pioppo, le nonce apostolique au Cameroun, est celui qui a livré Mgr balla a la présidence de la République, précisément à son ami martin Belinga Eboutou. Exigeons à Piero Pioppo de publier la lettre que lui a adressée Mgr Bala !
En effet, outragé et très choqué par l'assassinat il y'a quelques jours du jeune prêtre, l'Abbé Armel Djama qu'il avait envoyé étudier en Italie et qu'il vient de nommer recteur du petit séminaire de Bafia, Mgr Balla a saisi par lettre le Nonce apostolique, après avoir tenté en vain de toucher la Présidence de la République. La police a effectivement tout fait pour étouffer tout bruit sur l'assassinat du jeune prêtre, et Monseigneur Balla s'est senti finalement impuissant.
Connaissant l'église catholique comme un milieu où l'on ne doit faire confiance à personne, Mgr Balla a cru en Piero Pioppo, un étranger, digne de confiance en tant que diplomate, ambassadeur du Vatican aussi appelé nonce apostolique, en se disant que ce dernier alertera autant le pape Benedict que Paul Biya afin que lumière et justice seront faites sur la mort d'Armel Djama.
Dans une phrase de la lettre, d'après deux sources du milieu des prêtres proches du diocèse de Bafia, Mgr Benoît Balla se plaint que Paul Biya (dont il était une fois familier du couple) ne s'intéresse qu'à sa réélection, et ne parvient pas à donner à la police scientifique les moyens de mener de bonnes autopsies.
La lettre dénonce et soupçonne également le réseau des homosexuels au sein de l'église catholique, qu'il avait eu à combattre.
Piero Pioppo a aussitôt transmis la lettre de Mgr Balla au DCC/PR, Martin Belinga Eboutou, sachant bien qu'il signait ainsi l'arrêt de mort de l'évêque du Mbam et Enougou.
Or, non seulement c'est Belinga Eboutou qui dirige le réseau des homosexuels catholiques, c'est lui qui fabrique pratiquement tous les sacres des évêques au Cameroun. Le sacre c'est la nomination par le Vatican d'un prêtre comme évêque, suivant une procédure précise, que maîtrise Belinga Eboutou, ancien séminariste et financier important de l'église catholique. Il corrompt toute l'église catholique, où il a donné pas moins de 15 à 20 millions aux prêtres qui cèdent, y compris Piero Pioppo, aussi impliqué dans ce réseau d'homosexualité.
Et toutes les fois que Paul Biya va être réinstallé pour un nouveau mandat présidentiel, un prêtre du grade d'évêque est toujours sacrifié et son sang bu par le cercle du «nnom ngui», d'après des témoins, dont l'ancien SG/PR Titus Edzoa.
La liste des prêtres sacrifiés par le réseau criminel de Belinga Eboutou est longue.
Mgr Befe Ateba, alors évêque de Kribi, fut régulièrement corrompu et gravement sodomisé par Belinga Eboutou, vidé de toutes ses «énergies» avant d'être laissé pour mourir.
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Parmi les auteurs de l'assassinat à l'hôtel Hilton de l'homosexuel Narcisse Djomo Pokam en 2006, il y'avait entre autres membres du gouvernement présents dans cet hôtel à l’heure du crime par défénestration de la victime du 8ème étage, Martin Belinga Eboutou et son amant homosexuel Claude Juimo monthé qui venait d'être nommé par décret présidentiel président de la Chambre de commerce, d’industries, des mines et de l’artisanat (CCIMA).
Jean-Bosco Ntep, évêque du diocèse d'Édéa, est une fabrication de Belinga Eboutou, régulièrement sodomisé. Et bien d'autres.
Le seul que Belinga Eboutou ne sacrifiera pas, c'est l'évêque Adalbert Ndzana, son amant homosexuel depuis le séminaire, avec qui il avait assassiné la mère Mme Etoa.
Quand Belinga Eboutou tue et et sacrifie un évêque, Paul Biya se maintient au pouvoir. Le sacrifice d'un chrétien ministre de haut rand vient en deuxième position, après celui d'un enfant ou bébé, comme plus grand sacrifice acceptable par Satan dans les cercles de sorcellerie.
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Une fois, c'est l'ancien gouverneur du Littoral, Koungou Edima, un chrétien, qui sauva la vie au présent cardinal Christian Tumi, que Belingui avait choisi comme le sacrifice à offrir au «nnom ngui» pour le maintien de Paul Biya au pouvoir.
La dernière information reçue de source journalistique (Paul Chouta) cite les témoignages des résidents du village des pécheurs de Tsang qui, entre 2 heures et 4 heures du matin dans la nuit de jeudi à vendredi hier, ont entendu un hélicoptère survoler le fleuve et lâcher un colis sur les eaux, à l'endroit où le corps de Mgr Jean-Marie Benoît Balla a été trouvé hier par un pécheur malien.