Le Ministre de l'Administration territoriale du Cameroun a débarqué sur les plateaux de Canal2 international en pleine émission. Pendant que la question de la grève des enseignants était débattu sur le plateau, le ministre prend la parole et prononce les mots ci-dessous.
La rédaction de CamerounWeb vous propose la transcription des paroles du Minat.
---
"Ce que je peux dire c'est que le gouvernement s'est penché. Il faut faire confiance au gouvernement parce que nous avons des orientations qui viennent du chef de l'état et ses orientations du chef de l'état sont mises en œuvre par le premier ministre chef du gouvernement.
Donc, le Cameroun sur la conduite éclairée de son excellence Paul Biya président de la République chef de l'État a les moyens de gérer les problèmes internes. Donc les gens doivent faire confiance au gouvernement. Il y'a des revendications et le premier ministre a mis en place un comité qui se penche et puis les gouverneurs et préfets vont faire des rapports, je suis convaincu que d'ici quelques temps tout va rentrer dans l'ordre.
On a pas besoin le Cameroun sur la supervision éclairée de son excellence Paul Biya est un pays où on intimide pas les gens. On a pas besoin d'intimider les camerounais. Vous savez, le ministère de l'Administration territoriale est chargé du maintien de l'ordre. Mais ce que nous faisons globalement c'est d'abord d'éduquer les citoyens en disant que vous avez des droits et vous avez des devoirs.
Globalement je dis qu'il faut faire confiance au gouvernement quelque soit le problème parce que le gouvernement a plusieurs façons de régler les problèmes. Restez tranquille et les solutions idoines vont être trouvées.
L'essaim d'abeilles, les serpents affamés c'est pour les récalcitrants. Et à chaque fois qu'il y'a les récalcitrants nous avons les moyens de les contenir et de leur dire que ici au Cameroun on ne peut pas faire des débordements.
Tout de même c'est un pays démocratique sur la conduite du chef de l'État son excellence Paul Biya, les gens s'expriment librement, les gens vaquent librement à leurs occupations mais on leur dit, respectez les institutions parce qu'il y'a des droits et il y'a des devoirs. Et si on peut comprendre comme ça les choses vont aller normalement".