Opinions of Sunday, 13 November 2022

Auteur: Shance Lion

Axes routiers au Cameroun : une lettre sur la table de Paul Biya

Une proposition lui a été faite Une proposition lui a été faite

Une lettre a été envoyée à Paul Biya en ce qui concerne les axes routiers au Cameroun. Un compatriote diplômé en ponts et chaussées, fait une proposition au gouvernement de la République sur la modernisation et la transformation de nos axes routiers en Voie Express Rapide et sur un modèle de partenariat entre nos Universités et Grandes écoles et les collectivités territoriales décentralisées.

Il dit notamment que, Les Mémoires de Thèse de nos étudiants doivent être proposés aux collectivités territoriales décentralisées et ou consultés par ceux-ci afin de voir, si ces projets de mémoire peuvent être appliqués dans leurs communes. Il a pris exemple sur son propre projet de mémoire de sortie d'ingénieur, qui a été adopté et réalisé par la Commune de Meyrin en Suisse.

Lisons sa proposition publiée par le lanceur d'alertes Shane Lion.

« Bonjour cher compatriote. Comment faire comprendre à nos maire et nos ministres que la solution de la construction des projets fiables dans notre pays se trouve dans nos universités et écoles de formations?

Tant que nous ferions confiance en des bureaux d’Etudes oxydentaux qui nous vendent des projets qui ne sont pas très souvent corroborant à notre degrés d’éveil on continuera à spolier notre pays.
Il y’a de cela quelques années j’ai dis le Cameroun n’est pas prêt pour les autoroutes les collègues ingénieurs m’ont traité de tous les mots aujourd’hui je rigole.

La solution était simple en mon sens ouvrir une voix à gauche et une à droite sur ce qui existe déjà et passer une couche de bb général on était parti pour 30 ans encore. A ce projet tous les 40km créés des fourrières administratives avec pôle récréatif et zone publicitaire gérés par les mairies (donnant tout son sens au mot quand la route passe le développement suit).

Nos routes faites soit disante en chaussée souples qui sont inefficaces car nous n’avons pas d’argent et pas les engins pour le faire. Faisons un tour dans les stations service qui datent de 50 ans parfois, c’est du béton ferrailler en fer de 8 quadrillage de 15cm.
Pour revenir à nos écoles elles doivent avoir pour partenaires fort les mairies et ministère de tutelle, ainsi nos formations, nos projets de sortie doivent se réaliser pas meublé les murs des écoles.

Mon projet de sortie à l’école d’ingénieur était une passerelle piétonne, une fois les études bouclé la mairie de meyrin l’a fait réaliser et avec mon directeur de mémoire nous avons suivit.
Je pense que l’indépendance réelle de nos pays pour avoir étudier en Suisse ne passera pas forcément par les assemblées mais des iniatives incitant à la fierté et c’est la matérialisation des projets. Sur 100 projets des écoles polytechnique en suisse au plus bas mot 40 sont directement réalisés, très souvent c’est le canton qui défini son besoin et les professeurs en font des sujets de recherche. Et la suite coule de soit.