play videoIl était à Mvomeka le 6 novembre lors de l'anniversaire de la prise de pouvoir de Biya
La mort du célèbre chanteur camerounais Nkodo Si Tony continue de susciter des réactions sur la toile. Selon les révélations du journaliste Rémy Ngono, ce dernier aurait été empoisonné à Mvomeka le 6 novembre lors de l'anniversaire de la prise de pouvoir de Biya où il a été invité à prester. Le journaliste confie également que le régime Biya ne lui aurait pas pardonné sa présence à Paris lors du géant meeting de Maurice Kamto. Ces révélations ne surprennent guère l'activiste Zona Coker qui apporte des précisions
Je viens d'écouter le direct de Rémy Ngono sur la mort de Nkodo Si Tony. Il s'avère que ce dernier dont l'une des dernières prestations était à Mvomeka le 6 novembre lors de l'anniversaire de la prise de pouvoir de Biya Bi Mvondo où il a été sollicité pour prêter et afin de demander publiquement pardon à son peuple pour l'avoir offensé en allant chanter au meeting de Maurice Kamto à paris. Ceux qui s'indignaient parce qu'il est allé chercher un cachet pour nourrir sa famille chez les Bamiléké ne se sont pas assurer qu'il soit bien payé à Mvomeka et ne l'ont pas assisté financièrement pendant qu'il était malade. L'homme Beti sait détruire mais pas réparer. Rémy Ngono dit que l'entourage de Biya Bi Mvondo, nommément Mvondo Ayolo a été incapable de lui dire combien si Tony a reçu pour sa prestation à Mvomeka.
Non seulement il a été mystiquement touché après cette prestation, il a ensuite été achevé avec le poison. L'opération n'a pas marché parce que ses intestins étaient déjà trop abîmés pour recoudre après l'intervention. Alors qu'il était déjà mort et qu'on ne permettait pas à sa femme qui le croyait encore vivant de le voir, les médecins escroquaient cette dernière avec une fausse ordonnance de plus de 300 000 frs CFA. Mais quel pays !
Avec ça nous-nous demandons pourquoi le peuple Beti est devenu le maillon faible au Cameroun aujourd'hui et pourquoi certains des nôtres préfèrent maintenant allé trouver refuge ailleurs. Je vous mets en captures l'échange que j'avais eu avec Narcisse Mbarga en commentaire sur sa page après le fameux concert qui lui a valu le lynchage de sa propre communauté et le déferlement de haine des siens qui l'a certainement poussé à la tombe. Un seul mot, continuez. ABIM TÉ .