Le Conseil national de la Communication du Cameroun (CNC), apparaît définitivement comme un djoudjou aux mains du pouvoir politique, pour :

- censurer le droit de dire et d'écrire ce que pense le citoyen, de même que son droit de recevoir ou de communiquer des informations. Ce droit qui englobe la Liberté de la presse ;

- discriminer les médias exerçant au Cameroun, en muselant ceux qui affichent une certaine indépendante et critique vis-à-vis du pouvoir, tout protégeant des voyous, qui de manière délibérée, infestent l'opinion d'idées inspirées du nazisme.

Le CNC est devenu l'allié décomplexé, le bras séculier de la dictature camerounaise, qui arbitrairement, de manière partiale, illégale et sauvage tue les métiers de la presse au Cameroun et fait reculer la liberté d'expression.