Voici la liste des projets bidons et des emprunts extérieurs qui sont chargés par le régime Biya sur la tête des contribuables Camerounais pour les décennies à venir, rien qu'envers la Chine.
En 2017, le régime Biya négociait avec la Chine des dettes extérieures s'élevant à 3,149 milliards de dollars, soit 1 675,3 milliards de francs CFA.
Cette somme de dettes publiques, une dette que chaque Camerounais doit payer avec ses impôts, représente à elle seule 38% du budget de l'état (4373,8 milliards de F CFA) en 2017 car les dettes publiques envers d'autres bailleurs, notamment ceux de l'occident, sont encore plus élevées.
Une grande partie des budgets de l'état, budgets qui servent normalement à réaliser les investissements publics pour le développement du pays, sera chaque année affectée au remboursement de ces dettes extérieures colossales accumulées chaque année par le régime Biya.
Si ces dettes servaient effectivement à réaliser les projets d'investissements publics montés pour les obtenir, le Cameroun pourrait, quoique difficilement, amorcer son développement économique comme le Rwanda, l'Ethiopie, l'Angola ou la guinée équatoriale.
Malheureusement, l'argent reçu de ces dettes est systématiquement détourné par les membres du gouvernement Biya, à travers la surfacturation des projets comme les fameux ordinateurs chinois PB pour les étudiants, ou le vol en bonne et due forme des déboursements comme les fameux prêts accordés au Cameroun par la société générale française de banque pour 55 ponts métalliques sans qu'un seul ne soit livré au Cameroun depuis 2014.
Paul Biya et ses complices du gouvernement sabotent le Cameroun et son économie en se servant de l'arme de la dette extérieure, qui place notre pays sous l'esclavage financier des pays comme la France, la chine et beaucoup d'autres, afin que tout effort de développement soit toujours anéanti durant les décennies à venir.
Au moment où le Ghana d'Akufo-Addo, en 1961 au même pied d'égalité que le Cameroun, célèbre aujourd'hui son indépendance de la dette extérieure appauvrissante, le Cameroun de Biya cherche plutôt de nouveaux bailleurs de fonds, de nouveaux esclavagistes financiers à qui il livre chaque jour notre pays.
Les générations futures des camerounais vont haïr et condamner les citoyens camerounais actuels, en particulier les francophones, pour avoir soutenu par leur silence complice le régime maudit de Paul Biya qui a bloqué le Cameroun en le soumettant à l'esclavage de la dette.
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