Dans une publication, Boubal Dalil a mis les choses au claire, alors que s'approchent le congrès du MRC à grands pas.


"Voilà ce que je lis, ce que j'entends et c'est d'une infinie tristesse, cette façon de faire la politique, comme si on devait payer un droit d'entrée ou un tribut de reconnaissance à vie, pour avoir vu son nom cité quelque part. Certains viennent même en commentaires de mes publications écrire "enlève ta photo là, tu ne seras plus au Directoire après la Convention", d'autres "si elle n'est plus au Directoire je suis sûr qu'elle va démissionner".

Bon. Écoutez,
Si aujourd'hui la bataille que mènent certains est d'obtenir ma tête au Directoire du MRC, quoique ce n'est pas nouveau, une chose est sûre, ils ne réussiront pas à éteindre ce que j'ai commencé il y a trois ans. Après avoir tout fait, je dis bien tout, pour que je parte de moi-même, ne l'ayant pas obtenu, ils ont tout essayé pour tenter de m'arracher de force mes pages de communication sur facebook, par des actes de piratage comme jamais je n'ai vu, et ils avaient presque réussi puisque mes pages m'ont, à un moment, été interdites d'accès, et il m'a été demandé, et à eux aussi certainement, de fournir un détail que seul le véritable propriétaire des pages pouvait connaître, le numéro d'une carte bancaire que j'avais enregistrée sur facebook, voilà où ils ont été bloqués. J'ai évidemment fourni ce détail et mes accès à mes pages m'ont été restitués, bref, des méthodes dignes du régime que l'on combat. Certains en ont gardé les séquelles !

À travers tout ceci, j'ai retenu une grande leçon : ne laissez jamais personne vous mettre en position de croire que sans lui vous n'êtes rien, et qu'il peut vous "ramener là où vous étiez". Venez en politique avec un faire valoir et un bagage qui fera en sorte que c'est de vous qu'on aura besoin, c'est vous qu'on viendra chercher, et lorsqu'on vous sortira des paroles comme "je vais te ramener plus bas que ce que tu étais", eh bien votre vie n'en dépendra pas.

Et parce qu'en politique tout est possible, je tiens donc à rassurer celles et ceux qui me suivent depuis 3 ans, que le travail ne s'arrêtera pas, quoi qu'il arrive, et à ceux là qui me promettent de "me ramener là où j'étais", je dis que c'est un peu tard, j'ai déjà pris mon envol et c'est irréversible. Le Président KAMTO m'a ouvert la voie il ya trois ans, je le remercierai pour cela le moment venu. Je n'ai pas attendu la permission de ceux qui croient détenir ma vie entre leurs mains pour m'engager localement dans ma ville, et ça, ça va continuer. Ils doivent sans doute regretter de n'en être pas à l'origine".