Oui, c'est grâce à la main de Mr Émile ESSOMBÈ, membre du Conseil Constitutionnel, que les PV réclamés par le Professeur Maurice KAMTO et ses conseils depuis 2 jours, ont fait leur apparition comme par magie.

Les 6 PV ainsi brandis font partie d'un lot de plus de 30 PV remplis frauduleusement par Élécam et non signés. Ils ont pour but d'attribuer frauduleusement plus de 1 million et demi de votes à Mr BIYA.

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Ces PV ont été soigneusement dissimulés et protégé, jusqu'à ce que Mr Émile ESSOMBÈ ne livre aux yeux du monde la macabre supercherie : ces PV ne sont pas signés et sont une preuve irréfutable de tricherie de la part du candidat sortant, de Élécam et consort.

Certains diront que c'est le travail de sape effectué par Maurice KAMTO et ses conseils sur la conscience 1000 fois interpelées des juges au cours de ces 2 derniers jours, qui a sans aucun doute produit des effets.

Dans ce dernier cas, le juge aurait donc certainement fait exprès de dévoiler ces faux PV. Peut-être l'a-t-il fait avec la complicité de Mr Clément ATANGANA et certains autres membres, personne ne saurait le dire.

Toujours est-il qu'il a été longuement rappelé aux membres dudit CONSEIL, qu'ils devaient réagir positivement afin que l'histoire retienne leurs noms comme ceux de tous les héros, comme ceux des personnes par qui le vrai et bon changement est arrivé au Cameroun et à son peuple.

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Dans cette rocambolesque histoire, tout est envisageable : soit c'est grâce au bon Dieu, soit ces hommes et femmes du CC ont pris conscience des vrais intérêts du Cameroun en jeu, soit le Juge Émile ESSOMBÈ a tout seul pris la courageuse décision de dévoiler le pot aux roses.

En tout cas, voilà de nouveaux éléments de preuves inespérées entre les mains de Maurice KAMTO et sa dream team pour faire éclore la vérité et le porter à la magistrature suprême. Toutes ces preuves serviront ici ou devant.

Ce rebondissement ultime intervenu en fin d'audience hier soir, se révèle être une vraie aubaine pour la suite du combat juridico-judiciaire engagé par Mr KAMTO à qui la victoire, plus que jamais, tend les bras.