Dans un audit confidentiel interne de Campost daté du 20 novembre 2007, Intitule «Synthèse audit gestion et écriture comptables des Centres des chèques postaux de Yaoundé I et II», les enquêteurs de la Campost conduits par l’inspecteur Zourmba Clody avaient épluché pendant près de quatre mois, dans les deux centres de chèques postaux de Yaoundé (I et II), des virements irréguliers et des paiements dans les comptes sans provision nécessaires ou à partir des virements fictifs sur la période 2006- 2007.
Au centre des chèques postaux de Yaoundé I, la mission a comptabilisé 243 paiements irréguliers dans 79 comptes courant pour un montant total d’un milliard cent cinquante millions sept cent soixante-douze mille quatre cent dix francs CFA (1.150 772 410 FCFA); enregistré 144 paiements d’un montant total d’un milliard soixante-quatre millions deux cent vingt-trois mille neuf cent dix francs CFA (1.064 223 910 FCFA) réalisés sur la base des crédits fictifs dans 14 comptes courants et 99 paiements d’une valeur de quatre-vingt-six millions cinq cent quarante-huit mille cinq cent francs CFA (86.548 500 FCFA) effectués dans 65 comptes sans provision.
LIRE AUSSI:
Révélations: Amougou Belinga serait à l'origine de mort de sa fille Rose
Sur l’ensemble de ces préjudices, la mission avait relevé que l’actuel Ministre chargé de Mission à la présidence de la République, Paul Atanga Nji, propriétaire du compte n°031562-004-58 au nom des «Ets des jeunes hommes d’affaires», a obtenu de façon irrégulière la rondelette somme de trois cent dix-neuf millions de FCFA (319.000.000 de FCFA).
Le rapport de cet audit révélait que Jean Pierre Amougou Belinga a encaissé frauduleusement, via 13 comptes logés à la CCP (, la somme de six cent vingt, trois millions huit cent trois mille cinq cent trente-cinq fraies CFA (623.803535 FCFA! Le magazine Africa Express (cpte n°026914-004-55), dont M. Amougou Belinga est le promoteur, a participé à cette déconfiture de la Campost en encaissant frauduleusement, le 31 décembre 2006, trois crédits fictifs d’un total de 49.000.000 de FCFA. Voilà pour les transactions financières indélicates au centre des chèques postaux de Yaoundé I.
LIRE AUSSI:
Amougou Belinga fait le ménage à Vision4
Au CCP II, les auditeurs internes de Campost avaient constaté un préjudice «négligeable» de 488.588.525 FCFA. Avec cependant, à la manœuvre, les mêmes acteurs. Les comptes des établissements Universal World (cpte n°1002004130) et Satellite Sarl Fm (cpte n°1002002754) appartenant à Jean Pierre Amougou Belinga, avaient été frauduleusement crédités de 21.316.000 FCFA et de 49.983.282 FCFA, celui du Ministre Paul Atanga Nji .(cpte n°100200240) avait reçu pour sa part, la rondelette somme de 150,550.000 FCFA., Donc, en l’espace de quelques mois, les comptes du Ministre Paul Atanga Nji et Jean Pierre Amougou Belinga avaient été frauduleusement crédités respectivement de 469.550.000 FCFA et de 695.102.817 FCFA.
De ce contrôle interne, il ressort que le duo Paul Atanga Nji – Jean Pierre Amougou Belinga n’avait pas fait preuve de modération à l’égard de la Campost. Sur des pertes alors estimées à près de 1,7 milliard de FCFA, ils avaient grappillé à eux deux près de 1,2 milliard de FCFA. Ce rapport interne, entre les mains de la Justice, n’a donné lieu à aucune suite judiciaire jusqu’ici.
"/>
Laurent Esso ayant juré que tant qu il vit son protégé ne sera jamais devant la justice pour cette affaire de CAMPOST. Bien plus en arguant le peuple, lors d’un passage sur vision 4 , Amougou Belinga avait avoué qu’il remboursait cet argent » petit à petit » sauf que nous sommes à mesure de vous dire aujourd’hui qu’une fois de plus, il a menti au peuple. Il n’a jamais versé le moindre COPEC à l’Etat…ce qui choque ici c’est son arrogance. Et surtout qu’il compte utiliser l’argent du peuple pour commettre son génocide !!!
Qui est réellement Jean-Pierre Amougou Bélinga
Amougou Bélinga Jean Pierre est un illettré Camerounais ayant fait la prison à deux reprises pour »usage de faux » et qui, après avoir escroqué un ancien directeur des postes et télécommunications, le nommé Mballa Bessala a dans le milieu des années 90 décidé de lancer un journal baptisé » l’Anecdote ». Un véritable instrument de chantage qui lui permettra de se bâtir une petite fortune. En début des années 2000, cet arriviste qui a fréquenté jusqu’en classe de 5eme et qui aime à se présenter comme » politologue » fera la rencontre d’un ponte du régime nommé Laurent Esso.
Leur relation questionnable tant est-il que rien d’intelligible ne peut les lier a finalement révéler en 2006 dans le cadre de l’affaire baptisée » Top 50? que les deux amis entretenaient plutôt une relation homosexuelle. Ceci s’est vérifié à plusieurs égards. Les amants se sont jurés fidélité. En effet qui aujourd’hui peut dire avec exactitude pourquoi Jean Pierre Amougou Belinga malgré les nombreuses affaires contre lui de détournement, d’abus de confiance et d’escroquerie pourquoi est-il toujours en liberté ? ! Où est passé l’argent qu’il a détourné à la CAMPOST ? Récemment dans une interview accordée dans sa télévision, cet analphabète avouera sans s’en rendre compte qu’il lui arrive de rembourser de temps en temps ce qu’il doit à la CAMPOST.
Preuve par deux que ce renégat bénéficie d’un soutien important en la personne du Ministre de la Justice Esso Laurent. Au moment où nous rédigeons cet article cet homme a contre lui une quinzaine d’affaires pendantes contre lui devant les tribunaux mais simplement bloquées sur instructions de son amant Laurent Esso.
Il y’a quelques années, Amougou Belinga avait été traîné devant les tribunaux par l’éminent Professeur Emmanuel Pondi pour des accusations d’homosexualité. Cette affaire a simplement été classée sans suite. Le même sort sera réservé au Professeur Alain Fogue, brillant enseignant de géostratégie qui avait au préalable été copieusement molesté par Les gardes corps de notre police nationale affecté par Mbarga Nguele à ce dernier.
Aucune action ne peut prospérer en justice contre Amougou Belinga tant que Laurent Esso est en poste. D’où l’impératif pour Biya de dégager ce vieillard incompétent qui a confisqué la justice en détruisant systématiquement contre ceux qui s’opposent à ses intérêts et à celui d’Amougou Belinga tout en faisant croire qu’il travaille pour le compte du Président. Allez savoir à ce niveau combien d’eperviables sont sous les verrous simplement parce que Laurent Esso ne veut pas que ces derniers lui fassent ombrage.
Oui il faut que les Camerounais le sachent. Laurent Esso veut être président du Cameroun et utilise la machine judiciaire pour éliminer les plus compétents et plus fidèles du président Biya par la fabrication de faux rapports de concert avec des services de renseignements dont l’intermédiaire n’est autre qu’Amougou Belinga. C’est pour cela que vous ne le verrez jamais lui Esso. Les confidences des réunions ces 6 derniers mois à Paris entre les proches de Bolloré et Amougou Belinga sont connus du CODE.
Esso a rassuré Bolloré de ce qu’il sera le futur président du Cameroun. Mais pour entretenir l’enfumage, C’est Amougou Belinga qui va à Paris pour le compte de Laurent Esso récupérer des procès-verbaux. La télévision vision 4 est d’ailleurs en bonne place pour jouer un rôle de propagande et de destruction à la fois.
Ce n’est pas une révélation que de dire que les équipements de télévision et le ramdam sur une antenne vision 4 Paris ne sont que l’œuvre de Bolloré. Amougou Belinga est un maillon essentiel dans la conquête du pouvoir de Laurent Esso.