Dans certains documents circulant sur la toile et publiés par certains relayeurs passifs d’informations à la recherche du BUZZ, on peut clairement lire qu’une somptueuse villa à kribi est attribuée, sans preuves comme à l’accoutumée, à l’ex Ministre des transports, Edgard Alain MEBE NGO’O. Ladite villa, d’après ces mêmes relayeurs, serait depuis la mise en retraite du Gouvernement de MEBE NGO’O au 02 mars 2018, mise en vente à hauteur de 700, puis 500 millions Fcfa.
Cependant, à la recherche de la vérité sur cette affaire, nous sommes tombés sur des documents mettant clairement en avant que ce bien (Villa+terrain), a été cédé en 2013 par un certain Pierre SEMENGUE, à la SCI « JOHN DANE OWNER & SONS », représentée par Maitre OWONA NDIGUI Jean Daniel, notaire à Kribi. A toutes fins utiles, ceux qui prétendent que cette villa appartient à MEBE NGO’O, se refusent de mettre en ligne ces autres documents qui circulent.
Question: la SCI indexée appartiendrait-elle à la famille MEBE NGO’O? Si oui, prière de nous en fournir la preuve que l’on accueillera avec joie.
Bon soite, d’aucuns disent déjà que Me NDIGUI n’est qu’un prête nom: PROUVEZ LE NOUS. C’est trop facile de venir nous enfumer avec des déclarations sans fondement, pour qu’on vous croit sur parole. Mieux de vous, vous êtes le bon DIEU.
Rappelons que Me OWONA est actuellement écroué à la prison centrale de
Nkondengui pour des affaires liées à sa profession de Notaire: est ce à dire que de sa cellule, il réussirait à mener ce type de transactions pour le compte de MEBE NGO’O? à quelles fins?? QUELLE GRANDE CHARITE !
Des informations recueillies sur le site de vente, révèlent que la Villa indexée serait en vente depuis le 1er trimestre de 2018, correspondant justement comme par hasard à la période d’arrestation du Sieur OWONA NDIGUI, qui visiblement a besoin de fonds pour éponger ce qu’il doit, aux yeux de la justice.
De nombreuses investigations sont en cours sur les allégations longtemps faites sur ces personnalités victimes de calomnies dans les réseaux sociaux et il est temps que la vérité soit rétablie et avec preuves !
Si nous devons porter des accusations sur des individus, nous devons les
accompagner de preuves matérielles et tangibles.
Si nous voulons contribuer à la prospérité de notre pays, arrêtons de véhiculer des FAKE NEWS, les vidéos, images etc… L’avant dernière en date est celle dujournaliste du quotidien le JOUR, qui a crié haut et fort sur la place publique qu’il a été séquestré par les agents de sécurité de l’ex ministre des transports, avec coups et blessures, suivi d’un internement en salle de réanimation. De nos jours, quel journaliste éveillé peut omettre de faire des « selfies » lorsqu’il est maltraité pour prouver ses dires,
pire encore lorsqu’on appartient à un quotidien de renommée nationale et internationale ?
Toute personne, qui essaie un instant de défendre et de dire la vérité sur MEBE NGO’O, est tout de suite taxée d’avoir perçu des sommes d’argent faramineuses. Mais que dire de ceux qui le villipende ?
Il va s’en dire qu’une véritable cabale (du jamais vu dans l’histoire du Cameroun), est orchestrée dans les médias et réseaux sociaux et sans preuves aucune, autour de ce haut commis de l’Etat, qui n’a pour tord que d’avoir servi loyalement son Pays.
N’oublions pas également qu’un grossier photo-montage a été réalisé comme , présentant l’ancien Ministre de la République en compagnie du Président de la République auto-proclamée d’Ambazonie, AYUK TABE. Sans parler des sociétés TRADEX et SANTA LUCIA, nouvelles trouvailles des détracteurs, que l’on dit lui appartenir.
Faisons attention aux FAKE NEWS qui n’ont pour seul objectif que de discréditer des hauts commis de l’Etat aux yeux des camerounais que nous sommes. MEBE NGO’O n’étant pas le seul, encore moins le dernier.
Le Président de la République n’a t’il pas lui même dit dans son récent discours à la jeunesse d’éviter d’être des « followers passifs »? Nous camerounais, voulons connaitre la vérité telle qu’elle, et non une vérité
montée de toute pièce dans l’esprit de certains individus, dont l’agenda demeure inconnu et qui manipulent les réseaux sociaux pour arriver à leurs fins