La France coloniale, comme partout ailleurs en Afrique et fidèle à sa politique de pillage du continent africain, avait pensé faire de Paul Biya sa marionnette au Cameroun. Mais celui que la France avait pensé faire sa marionnette, avait pris conscience en chemin de la manipulation néocoloniale et décida de se rebeller en refusant de renouveler les accords de défense coloniaux qui liaient la France au Cameroun. Tout de suite la France créa Boko A Rats et Séléka pour faire tomber celui qu´elle croyait être son pantin. On ne compte plus les coups fourrés et les tentatives de déstabilisation avortées en complicité avec les forces endogènes traîtresses.

Depuis 2009, la France coloniale mène ouvertement et en secret une guerre sans merci contre le président Paul Biya pour le remplacer par un homme de paille qui servira les intérêts de la France corps et âme au détriment du peuple Camerounais.

Cette France coloniale considérant le Cameroun comme sa chasse gardée, et qui avait demandé à Ahidjo et à Paul Biya de franciser (comme le Bretons en France) toutes les régions d´expression anglaise du Cameroun pour en faire de bons francophones, n´a pas hésité à lâcher (espérant une énième fois le faire tomber) le président Paul Biya en pleine tempête anglophone orchestrée. Si la France et les États-Unis ne tiraient les ficelles de la crise dite anglophone au Cameroun, il y a bien longtemps que le calme serait revenu dans toutes les régions du Nord-ouest et du Sud-Ouest Cameroun. Le but étant d´encercler le Cameroun. Mais le peuple camerounais n´est pas dupe, car connait ses ennemis.

Sachons le, jusqu´à une certaine date encore récente, c´est la France néocoloniale qui décidait des programmes scolaires (français et anglais), des politiques culturelles, économiques et politiques au Cameroun. Pour la petite histoire, le président Paul Biya a refusé de signer le contrat d´exploitation du pétrole de Bakassi aux entreprises américaines et à l´entreprise française Total. Aller donc comprendre l´agitation ambazombienne qui n´est rien d´autre que le cheval de Troie de la France-États-unis-Canada-l´Angleterre, qui voit mal la présence de la présence de la Pavda Poutine à Bakassi. Oui soucieux de diversifier ses partenaires stratégiques, le Cameroun a signé un contrat d´exploitation du pétrole de Bakassi avec la Chine et la Russie.