Le vrai problème des Africains c'est qu'ils sont capables de pleurer pendant des semaines sur un problème et ne pas en tirer les leçons pour l'éviter à l'avenir. Tout se passe comme si on attendait résigné, le prochain drame pour pleurnicher. Cette attitude fataliste a pour source le lavage mental effectué par les religions monothéistes et les traditions basées sur la cosmologie et la cosmogonie.

Comment lutter efficacement contre les déviances sexuelles et les problèmes de moeurs en général dans l'Églige catholique?

Longtemps étouffés et couverts, les scandales ont finit par affecter l'image de cette organisation. L'Église qui a soigneusement travaillé pour laver son image nauséabonde héritée de l'histoire faite de connivences dans la traite négrière, les croisades, les autodafés, les massacres pour cause d'hérésie, la colonisation, la course aux trésors...etc est aujourd'hui confrontée à de graves problèmes d'éthique.

C'est un secret de polichinelle que de chuchoter à l'oreille de quelqu'un aujourd'hui que tous les prêtes ou du moins la majorité, cachent femmes et enfants dans nos familles et quartiers. C'est ainsi que la chaîne de télévision Équinoxe y a consacré récemment, toute édition de son émission "paroles de femmes". Ce soir là, Personne n'a été surpris d'écouter les témoignages des concubines des prêtres. Ils paraît qu'ils ont des talents à faire pâlir tout charmeur!

Face à cette réalité, pourquoi ne pas imaginer une solution légale qui permettrait à ces prélats de contracter dans un premier temps, secrètement un mariage, en attendant une grande réforme de l'Église sur la question du mariage des prêtres ?

La tolérance de plus en plus affichée par l'Église catholique vis-à-vis de l'homosexualité, me semble plus difficile à implémenter que la sortie progressive de cette "vie cachée" des représentants de Jésus dévoués à sa cause.

Plus concrètement, cette réforme permettrait à l'officier d'État civil, dans des conditions fixées par la loi, de célébrer sans la formalité de la publicité requise en temps normal, le mariage de certaines personnes remplissant des conditions restrictivement fixées par la loi.
L'officier d'état civil pourrait par exemple se rendre dans le domicile de la concubine pour célébrer le mariage avec le prêtre. Le registre spécial prévu à cet effet contiendrait simplement des codes chiffrés pour des besoins de confidentialité.

Les actes de naissance des enfants issus de cette union extraordinaire porteraient le patronyme du prêtre père de l'enfant, mais avec un prénom différent. La profession et c'est un truisme, serait également couverte.
Cette réforme comme nous l'avons indiqué plus haut, serait transitoire, dans l'attente de la réforme de l'Église qui autoriserait une fois pour toutes, le mariage des prêtres.