Il faut sérieusement craindre pour notre pays qui fonctionne désormais comme s'il était entre les mains de groupes de cartels colombiens.
Il n'est pas superfétatoire de rappeler que la banalisation du mal dans notre société pourrait renseigner sur la nuit des longs couteaux déjà enclenchée. Cela devrait interpeller à un haut point nos principales autorités, à moins que leurs intérêts soient ailleurs.

Quand les instruments répressifs d'un pays n'inspirent plus confiance et que le peuple a l'impression qu'ils sont confisqués par quelques acteurs , qui s'en servent pour régler des comptes ou alors, peuvent agir, en marge de la loi, comme s'ils étaient marqués du sceau naturel de l'impunité, alors, on est en plein dans l'état de nature.

C'est cet état de nature qui donne l'impression que le Cameroun est devenu un véritable laboratoire industriel du c.rime. Lequel est manifestement entretenu par certains acteurs qui y trouvent leurs intérêts. Mais quels sont donc ces intérêts qui pourraient aller jusqu'à commettre l'irréparable ?Telle est la grande question qui devrait servir de boussole dans toutes les initiatives officielles qui peuvent contribuer à la neutralisation de ces fils de Mephistophelés.

Il faut absolument retrouver le journaliste Martinez ZOGO. Plus les heures s'écouleront et plus, il est certain que ses bourreaux envisageront très sérieusement de le liquider !!