Acteur de la société civile et jeune engagé pour les causes sociales, Polycarpe Xavier Atangana Eteme cherche depuis plusieurs mois à attirer l'attention du président de la République Paul Biya. Son objectif, devenir ministre dans le prochain gouvernement. Ci-dessous sa demande avec des arguments, au chef de l'Etat.


"Je suis jeune et très entier. Humanitaire et toujours au chevet des camerounais et camerounaises sans discrimination où qu'ils soient sans demander une contrepartie en retour.

Aujourd'hui, je souhaite d'avantages servir mon pays et, cette fois-ci, en tant que Ministre de Justice ou des Transports. Le plus important, c'est accompagner nos compatriotes à réussir face aux défis auxquels ils sont confrontés à l'heure grave du moment !

Je n'ai pas besoin de l'article 2 à cet effet: Je n'ai pas appétence financière et matérielle. C'est pourquoi, avec déférence, je réitère à son Excellence Président Paul Biya, mon souhait à me faire entrer au prochain gouvernement de la République.

Il découvrira alors avec étonnement une âme serviable, désintéressée et disponible pour servir strictement l'intérêt supérieur de la nation.

Et, les seuls mots qu'il prononcera de sa bouche seront: joie et fierté.

Camerounais dans l'âme. Je suis un citoyen engagé au service de son pays. Parce que: Je soutiens d'abord nos plus faibles et vulnérables qui sont des victimes d'injustices. Ensuite, nos Institutions dont les apatrides veulent à tout prix renverser à cause de la méconnaissance de leur fonctionnement.

Enfin , les autorités établies qui, tout le temps sont incomprises et méprisées par des coups bas, le tapage médiatique et l'indécence de l'opinion publique nationale. À elles(personnes) Je dédie cette perle de la sagesse antique :[Toute arme forgée contre toi sera sans effet; Et toute langue qui s'élèvera en justice contre toi, Tu la condamneras. Tel est l'héritage des serviteurs de l'Eternel, Tel est le salut qui leur viendra de moi, Dit l'Eternel.] Essaïe 57: 17. C'est à cette bonne grille de lecture que je corresponds à la vie publique du moment. C'est une vie se sacerdoce.

Je suis heureux de les prendre dans mes bras aujourd'hui. Je les encourage à continuer à servir la nation toute entière. Toute peine mérite un salaire. Elles sont une fierté. Elles ne risquent rien".