Le Cameroun doit être libéré de son régime tyrannique et sataniste actuel.
Parce que le régime Biya a utilisé les pratiques diaboliques comme instruments de maintien au pouvoir, avec des résultats désastreux en termes de pertes des vies humaines, et pollué le pays et la société avec des cultes sataniques et des esprits impurs qui les fondent, le Cameroun nouveau (que je défends personnellement d'être une fédération) doit adopter des lois sur la répression des fausses religions.
La constitution nationale doit contenir une définition claire et sans équivoque de «Dieu», ainsi que celle des termes «croyance en Dieu» et «religion».
En se fondant sur le rôle de Dieu dans la construction et le maintien d'une société paisible et solidaire, les lois nationales devraient reconnaître et réprimer les offenses et crimes de mensonge, d'hypocrisie, d'escroquerie et de manipulation des esprits dans le but de les conduire à commettre des vices et crimes interdits par Dieu.
Exemple: Si Dieu dit «Tu ne commettras point de meurtre», toute religion qui, dans ses livres de base, ses enseignements et sa doctrine fait l'apologie ou ordonne à ses fidèles de commettre le meurtre sera bannie du territoire camerounais, ses livres et enseignements devant être interdits de diffusion au public. Il en serait de même d'autres vices et crimes clairement identifiés, tels les sacrifices de sang, les cultes des objets, des êtres et des esprits autres que Dieu, etc.
Voici quelques références à Dieu dans les constitutions, pensées et décisions de justice de certaines grandes fédérations pouvant inspirer le futur législateur camerounais.
Le préambule de la constitution allemande:
«Conscients de leur responsabilité devant Dieu et les hommes, animés par la volonté de servir la paix mondiale comme partenaire égal dans une Europe unie, le peuple allemand a adopté, en vertu de son pouvoir constituant, cette loi fondamentale».
Le préambule de la Loi constitutionnelle canadienne de 1982:
«Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit».
Dieu a été évoqué dans l'affaire USA contre Macintosh où, à la page 633, le juge Hughes a écrit:
«L'essence de la religion est la croyance en une relation à Dieu impliquant des devoirs supérieurs à ceux découlant de toute relation humaine».
Thomas Jefferson (1743-1826), dans la Déclaration américaine d'indépendance de 1776:
«Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu'ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, parmi lesquels les droits à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur».
Cependant, aux États-Unis la constitution fédérale ne fait aucune référence à Dieu, mais les constitutions des États de Californie, Floride, Géorgie, Illinois, Kansas, Kentucky, Michigan, Nouveau Mexique, Pennsylvanie, Wisconsin, Colorado, Washington, Nevada, Iowa , Le Texas et le Massachusetts, et le territoire américain de Porto Rico le font. Elles utilisent généralement une invocation de «Dieu le Tout-Puissant» ou du «Souverain Suprême de l'Univers».
Une forte influence de la franc-maçonnerie sur les rédacteurs de la Constitution fédérale américaine devrait toujours décourager le futur législateur camerounais à suivre l'exemple de la constitution fédérale américaine.
Cependant, la mention de Dieu dans les constitutions, les lois et les règlements ne sera d'aucune utilité tant que la définition du mot «Dieu» ne sera pas clairement établie et acceptée par le peuple souverain.