Le maire de Yaoundé 1er est un délinquant sexuel pathologique. Il est surnommé "Opérateur " par les femmes de la mairie, dont plusieurs se détestent en rivales. Ce qui rend le climat du travail suspicieux et délétère entre elles. Jean Marie ABOUNA est accusé d’attouchements par les femmes de la mairie dont il est le patron depuis les élections municipales de février 2020.

La méthode de chantage utilisée par Jean Marie ABOUNA, est de ne pas signer de contrat de travail aux femmes qui lui résistent. Elles sont perpétuellement maintenues comme temporaires, et dont avec un statut précaire lui permettant de les chasser à sa guise, et sans possibilité de poursuites judiciaires, selon ce qu'il raconte à ses amis prédateurs sexuels comme lui.

Avec leur refus, les relations entre ces femmes et le maire de Yaoundé 1er, deviennent hostiles et froides. Le prédateur sexuel veut humilier toutes les belles femmes de la mairie, en les couchant.

Un dangereux récidiviste

L'on se souvient qu'en juin 2020, Jean Marie ABOUNA avait été au cœur d'un scandale de viol d'une étudiante, la nommée MANGA Ariane, 20 ans, dans son bureau même, à Tongolo. Après avoir déposé sa demande d'emploi, la jeune femme avait été invitée à un entretien d'embauche, à la demande du maire de Yaoundé 1er. Une fois dans son bureau, la jeune étudiante du note un comportement étrange de Jean Marie ABOUNA. Ce dernier, après lui avoir rappelé qu'elle était très belle et charmante, lui propose de prendre un verre avec lui. La jeune étudiante lui oppose une cinglante fin de non-recevoir. Mais le prédateur sexuel, rusé, fait plusieurs belles promesses à Ariane MANGA. Elle accepte de boire, mais ne sait pas que Jean Marie ABOUNA a mis un somnifère dans son verre. Après avoir bu, la belle étudiante plonge dans un profond sommeil, et Jean Marie ABOUNA abuse d'elle à sa guise.

À son réveil, la fille se rend compte qu'elle est entièrement nue, et le sperme, sur ses parties génitales. Mais Jean Marie ABOUNA la menace de mort si elle révèle ce qui s'est passé. La fille informe sa famille, et l'affaire est portée au tribunal de première instance du centre administratif de Yaoundé. Avec le carnet d'adresses de Jean Marie ABOUNA, l'affaire ne connaîtra pas de suite.
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